Devi Puja, San Diego 1985

San Diego (United States)

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Devi Puja. San Diego, California (USA), 31 May 1985.

English transcript verified IBP
Traduction française version 1/1/2014 (non vérifiée).

Que Dieu vous bénisse!

Asseyez-vous s’il vous plaît. [Juste pour enregistrer, hein?]

C’est un tel plaisir d’être dans l’ashram de San Diego. Et c’est un endroit si beau, qui exprime tant l’amour de Dieu, du Divin, la façon dont Il veut vous aider à chaque étape. Si vous voulez avoir un ashram, si vous voulez avoir une bonne maison, si vous voulez bien vous occuper de vos enfants, si vous voulez faire le travail de Dieu, tout est arrangé, tout doit être arrangé. Si ce n’est pas organisé, alors comment ferez-vous votre travail? Donc tout s’organise. Et c’est si évident, à la manière dont nous avons différents ashrams, des endroits si confortables à un prix très raisonnable que nous pouvons nous permettre, où nous pouvons vivre heureux ensemble. C’est la demeure créée pour vous par l’Amour.

Donc la première chose que nous devons nous rappeler, c’est qu’entre nous, nous devrions avoir un amour total. [marathi] Nous ne devrions pas faire confiance aux gens qui essayent de nous diviser, qui essayent de nous donner de mauvaises idées. Il est très facile de distinguer une personne qui est un Sahaja Yogi dans son cœur. C’est très facile à reconnaître. Vous devez être un peu plus sensible et vous reconnaîtrez une telle personne très facilement. Quelle que soit la ruse, elle peut être découverte. Personne ne peut agir contre Dieu maintenant, parce que tout sera découvert et sera trouvé.

Mais vous devez avoir votre attention complètement sur votre Mère. Mais certaines personnes deviennent un peu plus fanatiques, car elles sont si attachées, cela ne fait rien, vous en reviendrez. Mais il vaut mieux être fanatique que douter. Donc ces gens qui font un peu trop les choses devraient s’engager à une vie où, quoi qu’ils voient, quoi qu’ils comprennent dans Sahaja Yoga, quoi qu’il arrive, ils l’accepteront sans aucune inquiétude.

Le fait est que nous construisons également notre image de Sahaja Yoga. Nous ne pouvons pas la construire—il est ce qu’il est. Nous ne pouvons pas construire notre image, où nous pensons que Sahaja Yoga devrait être comme ceci, Sahaja Yoga devrait être comme cela—il ne peut pas l’être. Vous ne pouvez pas faire de compromis, vous ne pouvez simplement pas faire de compromis. Il doit être ce qu’il est. Il ne peut pas être ce que vous voulez qu’il soit. Vous ne pouvez pas le modeler, parce qu’il a été fixé il y a très longtemps. En fait, il est ce qu’il est, et c’est pourquoi il agit si bien, si efficacement. Mais pour le rendre plus efficace, vous devez accepter son fonctionnement.

Par exemple, regardez les horaires d’hier: Je savais qu’il devait y avoir quelque chose, et que l’heure n’était pas encore arrivée. Le temps que J’ai passé ici aurait dû être passé à élever leur Kundalini, mais a été gâché inutilement. Au lieu de cela, J’ai pris cinq minutes, c’est ce qu’il M’a fallu pour leur donner la Réalisation. Donc, tout doit être compris à cette lumière. Peu à peu, vous commencerez à voir le jeu divin, comment les choses agissent, comment cela vous aide.

Mais supposons que Dieu ait apporté quelque chose devant vous. Dr Worlikar M’a raconté à ce sujet une belle histoire qui est très intéressante: entre la Déesse de la fortune et la Déesse de l’éducation, il y avait un petit conflit. On peut dire que l’éducation, ou la Saraswatī, si Elle est négligée ou trop adorée, peut vous rendre plein d’ego, en ce sens que si vous devenez une personne qui cherche à apprendre, apprendre, apprendre, vous pouvez être projeté de l’autre côté.

Donc cette dame voulait tester le pouvoir de la richesse. Alors Elle a dit à la Lakshmi: “Bien, on va voir, sur cette personne.” Cette personne-là était un mendiant, qui avait besoin d’argent, et beaucoup. Alors Lakshmi mit beaucoup d’argent dans un grand ustensile de cuisine, que nous appelons handā, et le posa sur son passage. Ce type marchait, alors Saraswatī entra dans son esprit. Dès que Saraswatī entra dans son esprit, il devint plein d’ego et il ne le regarda même pas, il continua sa route. C’était ce dont il avait besoin, mais il passa son chemin.

Donc cela suggère une chose, c’est que lorsque les gens deviennent plein d’ego, commencent à élaborer leurs propres plans, commencent à faire leurs propres suggestions et des images qu’ils forment, alors voilà ce qui arrive: le Divin, qui essaye de répondre à votre besoin, à vos désirs, à vos solutions, le Divin disparaît. Voilà ce qui arrive, car nous n’autorisons pas le Divin à jouer Son rôle. Ceci, ce n’est pas seulement au niveau matériel; c’est aussi vrai aussi au niveau émotionnel, au niveau physique, mais le meilleur de tout cela, c’est vrai également au niveau spirituel. Donc nous ne devrions pas ignorer ce point. Laissons le Divin jouer Son rôle et nous pourrons le voir.

Par exemple, Krishna a dit: “Karmanyevadikaraste” – “C’est notre rôle de faire ce travail.” Maintenant, nous avons fait le Pūjā, l’Aarti est fait. J’ai dit: “Bon, si nous pouvons le faire, d’accord. Si nous ne pouvons pas, Je partirai par l’avion du soir.” Ca M’est égal: que Je parte par l’avion du matin ou l’avion du soir, peu importe. Je suis totalement détendue. Nous avons discuté, certains points importants devaient être discutés, il fallait prendre un peu de temps; il faut le faire, cela fait partie de notre vie. Alors Je ne suis pas inquiète de partir par l’avion d’une heure ou pas. D’accord, Je partirai par l’avion de nuit, cela ne fait aucune différence pour Moi.

Simplement pour avoir un esprit très détendu, pour observer comment les choses se déroulent. Inutilement, les gens… [marathi]…

En fait, lorsque nous comprenons que le Divin gère tout le jeu, qu’Il a Sa façon d’agir, que tout l’ensemble travaille pour nous, pour vous les Sahaja Yogis. Une fois que vous réalisez cela, alors vous vous sentez absolument détendu et vous êtes plein de joie. Mais lorsque vous commencez: “Oh, ceci aurait dû être comme ceci, cela aurait dû être comme cela”, alors tout est contre la joie. Peu importe la façon dont ça se passe, c’est bien. Une fois que vous développez cette attitude, alors la joie sera complète.

J’ai remarqué que dans la vie émotionnelle aussi vous souffrez trop. La raison en est que vous commencez à penser à tout. En fait en Inde, la façon de se marier est très simple, vous voyez. Depuis l’enfance, on nous enseigne: “Tu seras mariée, alors tu dois apprendre comment vivre avec ton mari”, et on dit toujours à un homme comment bien traiter son épouse. Mais ils ne savent pas qui est la femme ou le mari. Mais le mari et la femme, c’est juste une sorte de symbole. Ils ne savent pas qui c’est; cela peut être n’importe qui. Alors une fois que vous l’acceptez comme un dharma, cela devient une surprise pour vous et vous vous en réjouissez.

Et tout le système est construit, jusqu’à un point, un moment qui doit également être propice. Bien sûr, ils consultent les horoscopes, c’est une partie importante, car si vous ne consultez pas les horoscopes, cela peut être tout à fait désastreux. Donc ils consultent les horoscopes. Et s’il y a tant de points—on dit que vingt-six points, c’est idéal—alors ils se marient, sinon ils ne le font pas.

En fait, il n’est pas nécessaire de se rencontrer avant. Parfois les gens se rencontrent, discutent entre eux pendant un an, il se peut que leur mariage soit retardé, qu’il n’y ait pas de moment propice. Ils ont quelque temps pour être ensemble, mais jamais en privé; ils ne sont jamais dans l’intimité. Donc ce moment est gardé comme un moment sacré, celui où vous allez rencontrer votre mari ou votre épouse—c’est un moment très sacré, alors vous vous concentrez sur cet aspect.

Et donc tout à coup cela se décide. En fait, vous considérez ce moment comme un moment sacré. Parfois il arrive même que vous ayez un peu de temps ou même beaucoup, après la décision; vous devez peut-être mûrir votre sentiment, après avoir vu cette personne. Mais alors vous ne détournez pas votre attention, c’est un effort tout à fait concentré. Cela fonctionne bien, simplement parce que vous l’acceptez.

Mais ici les gens vivent ensemble pendant trois ans, puis ils se marient et divorcent. Je veux dire, Je n’arrive pas à comprendre: même si vous vivez ensemble trois ans, sept ans, dix ans, vous faites encore la même chose. Alors à quoi cela sert-il de se connaître l’un l’autre pendant tant d’années, car vous divorcez encore?

Mais cela se met simplement en place si vous comprenez que c’est un mouvement concentré, où vous avez tout concentré, vous rencontrez juste la personne et vous l’acceptez comme conjoint. Peut-être qu’un ou deux échouent, mais si vous n’y pensez pas, cela n’échouera pas beaucoup.

Parce qu’après le mariage, vous commencez à penser: “Ah, j’attendais ceci, j’attendais cela. Je pensais que ce serait ainsi; ce n’est pas le cas.” Et vous essayez toujours de critiquer l’autre, mais pas vous-même—c’est le meilleur aspect de cela: ne pas voir comment vous vous ajustez à cette personne. Une fois que vous commencez à penser au mariage, le mariage est fini, presque terminé.

Lorsque naît votre enfant, sans réfléchir à quel genre d’enfant va arriver, vous aimez déjà cet enfant. De la même façon, dans le mariage, vous aurez à développer ce genre de sentiment concentré. Alors seulement les mariages seront un succès.

Mais ici, vous voyez, c’est comme lorsque vous achetez quelque chose, d’accord, puis vous pensez: “Oh, ce n’était pas bien, j’aurais dû acheter autre chose, cela aurait été mieux, ceci, cela.” Alors vous passez à une autre chose. Les choses sont différentes; les choses sont des choses. Les êtres humains sont des choses vivantes, ce ne sont pas des choses mortes, que vous pouvez remplacer par une autre: “J’aurais pu avoir celle-ci ou celle-là.” Vous ne pouvez pas continuer ainsi avec des êtres humains—sinon vous jouez avec le Divin.

Et ceci, c’est le point essentiel où nous sentons que les Sahaja Yogis doivent apprendre à accepter avec joie, avec bonheur, et non pas à projeter des idées insensées. Alors seulement vous découvrirez que votre joie sera totale. Sinon, elle ne le sera pas. Ensuite, si vous en venez, disons, au côté physique: par exemple, si une femme est très mince, elle veut avoir des jambes comme ceci, des mains comme ceci, un corps comme ceci. Pourquoi? Je veux dire, imaginez que tout le monde soit enrégimenté selon certains modèles, tel tour de taille, tant de cela—ce serait horrible. Je veux dire, vous en auriez assez, vous en auriez marre. Alors vous voulez être comme cela.

Maintenant apparaît une mode selon laquelle nous devrions physiquement être Mr Amérique, ou peu importe comment vous l’appelez. Alors tout le monde fait du jogging, tout le monde court comme un fou. Mais pourquoi? Vous avez votre propre personnalité, continuez comme cela. Votre corps a besoin de certaines choses, selon son état. Bien sûr, si votre santé n’est pas bonne, alors essayez de le soignez à travers vos Chakras. Mais ces apparences, penser: “Je devrais ressembler à ceci, je devrais être comme cela”, cela ne fait absolument aucune différence.

Puis de nouveau une autre folie démarre, alors les gens sont très malheureux. Vous voyez, vous allez dans ces classes soi-disant d’élite, où la plupart des hommes sont très bien payés, éduqués, des gens de grande classe, les femmes aussi sont éduquées et tout, et ils ne parlent que de combien de calories vous manger, du fait que ceci est comme cela. Vous ne comprenez pas ce qui arrive à ces gens. Leur niveau est si bas. Et cela, c’est une discussion décente, mais s’ils deviennent indécents, là non plus ils n’ont pas de limite.

Donc cela montre qu’il n’y a pas eu d’évolution chez ces gens. Ils pensent uniquement en ces termes. Et c’est ainsi qu’ils deviennent très sérieux, qu’ils discutent très sérieusement de toutes ces choses. Vous avez envie de vous moquer d’eux, tellement ils sont stupides. Donc si toutes ces choses sont considérées comme si importantes dans un pays comme l’Amérique ou tout autre pays, cela montre le genre de personnes qui les peuplent.

Je veux dire, en Inde, personne ne se préoccupe autant de sa ligne. Au moins de Mon temps, les gens n’ont jamais aimé les filles très minces, parce qu’ils pensaient qu’elles devaient être très irritables, colériques, et penser tout le temps. Ils n’ont jamais aimé les filles très minces, Je vous le dis vraiment. Même maintenant Mon mari ne les aime pas. Il dit: “Vous voyez, les hommes ont trompé les femmes et c’est pour cela que les femmes font toutes ces choses.” Vous voyez, c’est un homme simple, alors il pense que les hommes les ont trompées. Donc c’est ainsi, et ensuite elles se font des jambes comme ceci, des dents comme ceci, un nez comme ceci; vous prenez un nez en plastique et vous le mettez—pourquoi?

Donc des déséquilibres physiques apparaissent aussi lorsque nous commençons à penser. Car lorsque nous pensons, nous heurtons une autre pensée, puis nous formons une pensée générale, ensuite un modèle général est accepté. Lorsqu’il est accepté, les gens disent: “D’accord, prenons cela!”

D’abord, elles avaient des vêtements très serrés, vous voyez, et une fille se vantait auprès de Moi qu’elle l’avait porté pendant huit jours et qu’elle ne pouvait pas l’enlever maintenant. J’ai dit: “Comment, comment avez-vous pu?” Elle a dit: “C’est quelque chose que vous pouvez porter, puis sauter dans la baignoire et ensuite cela rétrécit et vous ne pouvez pas l’enlever. Vous pouvez vous baigner avec, vous pouvez faire ce que voulez avec.” J’ai dit: “C’est vraiment répugnant.” “Non, non, vous pouvez bien le laver et l’essuyer.” Mais J’ai dit: “Pourquoi, pourquoi faire une chose pareille, qui va complètement coaguler votre sang à l’intérieur?”

En fait, elles ont commencé à en souffrir, alors maintenant elles portent des vêtements très amples, vous voyez, informes, sport, de ce genre-là. Donc elles sautent d’une chose à l’autre, lorsque vous continuez à imaginer, en essayant d’inventer de nouvelles méthodes.

Mais la tradition est différente. La tradition, c’est—lorsque les gens sont traditionnels, ce qui se passe en réalité… Les gens qui sont sensés ne peuvent que devenir traditionnels, parce qu’ils comprennent tout ce qui doit être abandonné et tout ce qui ne doit pas être abandonné. Et ils essaient de comprendre comment nous allons nous élever. Pas en suivant un seul côté, mais nous devons nous évaluer sur les deux côtés, nous équilibrer, et ensuite progresser.

Et tout ce qui doit être abandonné doit être abandonné, tout ce qui est bon doit être adopté. Comme ce que vous appelez le processus d’expérimentation. Vous voyez, vous faites une erreur—OK, abandonnez cela; puis prenez une autre—OK, abandonnez-la. Tout ce qui est bon, gardez-le et continuez avec, et c’est ainsi que vous construisez une bonne tradition, que les autres peuvent suivre.

Mais ceux qui pensent tout le temps aux nouvelles choses, eux veulent tout le temps avoir quelque chose de nouveau, alors ils se trompent grandement, car ce qu’ils font là, nous appelons cela des âneries. Avec les nouvelles choses, ils peuvent se retrouver dans une situation catastrophique, et c’est exactement ce qui est arrivé à la plupart des pays occidentaux, qui essaient tout ce qui est nouveau.

Maintenant la nouvelle vogue, c’est la cocaïne—OK, prenez de la cocaïne. Je veux dire, même Moi, Je ne serais pas surprise que le Prince Philip se mette à cela, ou que quelqu’un se mette à une chose comme cela. Je veux dire, tout le monde veut essayer la nouveauté, et si vous dites que vous ne pouvez pas essayer, alors on vous dit: “Pourquoi, pourquoi pas?” C’est un très grave problème dans l’esprit occidental.

Donc vous devriez tous le comprendre aussi, n’essayez pas de nouvelles choses dans Sahaja Yoga. Sahaja Yoga est une chose bâtie traditionnellement. N’essayez rien de nouveau dans Sahaja Yoga. Tout ce que nous avons est plus que suffisant, n’essayez rien de nouveau. Les gens qui ont essayé de nouvelles choses sont tombés sur des problèmes, alors n’essayez rien de nouveau.

Par exemple, quelqu’un a dit que ces temps-ci—J’ai entendu dire à Londres que des gens ont commencé à donner des conférences et de nouvelles méthodes de Sahaja Yoga, tout à coup. Et ils sont tous devenus fous. Je veux dire, leurs vibrations étaient folles, Je ne savais pas que faire avec eux. J’étais vraiment surprise: “Pourquoi avez-vous essayé une nouvelle méthode comme cela? Quel besoin y avait-il d’essayer une nouvelle méthode?” “Oh”, ont-ils répondu, “Eh bien, nous avons pensé, il vaut mieux essayer cela.” Mais J’ai dit: “Je vous ai déjà expliqué toutes les méthodes. Avez-vous essayé, vous êtes-vous perfectionnés? Il vaut mieux essayer celles que Je vous ai expliquées, et ensuite vous pouvez Me demander avant d’essayer quelque chose de nouveau. Mais vous devez comprendre ce que vous êtes en train de faire.”

Et J’ai également remarqué que ce sont toujours des Sahaja Yogis médiocres qui essayent de nouvelles méthodes. Et ils trouvent cette chose: “Maintenant je vais vous dire comment faire circuler votre respiration.” Pourquoi faire circuler votre respiration? Tout à coup ils trouvent une nouvelle méthode. C’est une chose courante, mais parfois ce sont aussi des gens très mauvais, alors faites attention.

Il n’y a aucun besoin d’essayer de nouvelles méthodes. En fait, vous êtes embarqués dans cette conscience où vous devez simplement être régulier. Alors à ce stade n’essayez rien de nouveau. Etablissez-vous simplement, établissez votre équilibre—c’est très important.

Le second aspect, c’est que chacun devrait bien connaître Sahaja Yoga. Mais certaines personnes en ont une connaissance si bizarre que cela M’étonne parfois. Par exemple, il y avait un type qui était homosexuel ou une chose insensée, et ensuite il a dit à des gens: “Oui, vous voyez, Mère dit qu’il n’y a pas de mal, de temps en temps.” Je n’ai jamais dit cela. Je ne pourrai jamais dire une chose pareille.

Ensuite quelqu’un a dit: “Boire—Mère a dit que ça va.” Comment pourrais-Je dire cela? Il n’y a pas de compromis. Quelqu’un a dit: “Ca peut aller, vous pouvez faire un peu de business.” Je n’ai jamais dit cela. Non, vous ne pouvez pas le faire, ces choses ne sont pas faites pour vous. Vous ne devez pas les faire du tout. D’accord?

Alors si quelqu’un invente de telles idées, dites-lui: “Rien de la sorte!” Il n’y a rien de ce genre, il n’y a aucun compromis dans Sahaja Yoga, aucun compromis. Toutes les méthodes que nous avons apprises, pratiquons-les afin de nous établir et d’établir les autres. Vous devez rester dans vos maryadas, dans vos limites.

N’essayez pas de vous envoler. Certains pensent qu’ils sont des Sahaja Yogis supérieurs, et ils font ceci, ils font cela. Alors, rappelez-vous, cela c’est mal. Vous devez vous-même vous calmer, et vous rappeler que, lorsque vous devenez humble, vous réaliserez que seuls les gens humbles sont des gens stables. Donc il doit y avoir une humilité totale.

Essayez d’acquérir davantage de connaissance de Sahaja Yoga. Il y a tant de façons. J’ai déjà fait préparer toutes Mes cassettes, nous avons maintenant édité tous ces livres de Sahaja Yoga et il y a aussi votre revue “Nirmala Yoga”—tant de moyens par lesquels vous pouvez comprendre Sahaja Yoga. Si vous ne comprenez pas, vous pouvez demander à d’autres, essayer d’analyser si la façon dont vous voulez comprendre ce que dit Mère, c’est bien ce qu’Elle a dit.

Parce que Mes discours sont dans un langage vraiment très simple. J’utilise un langage extrêmement simple, évitant toutes les formules littéraires, autant que possible bien sûr. Parfois Je dois bien utiliser des mots difficiles, mais normalement non. Mais au-delà des mots coule une connaissance très subtile. Alors comprendre cela peut parfois être difficile, il se peut que vous essayiez d’en construire quelque chose d’autre, de mal interpréter quelque chose.

S’il y a ce genre de problème, il vaut mieux consulter quelqu’un dont vous pensez qu’il peut vous conseiller. Mais vous devez accepter cela. Vous ne devriez pas avancer votre point de vue, car ce serait très faux. Ensuite vous serez un peu comme un train qui a déraillé et roule hors de la voie.

Nous avons une voie dans Sahaja Yoga, vous devez le savoir, que vous l’appréciiez ou pas. Il n’est pas question de liberté, mais de la voie pour s’élever. Vous ne pouvez pas sortir de cette voie. Si vous pensez que vous pouvez juste dévier un peu, prendre du bon temps avec toute cette saleté et ensuite revenir à Sahaja Yoga, vous ne serez pas acceptable. Si vous faites cela, alors Je devrai travailler dur pour vous purifier, faire ceci, faire cela. Mais pour rester propre, vous feriez mieux de rester sur votre voie et ne pas en sortir.

N’essayez pas de découvrir de nouvelles choses, de faire des choses qui ne sont pas nécessaires; pourquoi le faire? Je veux dire, il est simple de comprendre que c’est un gaspillage d’énergie. J’ai déjà trouvé cela pour vous, pourquoi voulez-vous le faire de nouveau?

C’est comme ce genre de chemisier que Je porte maintenant depuis, Je crois, cinquante ans ou peut-être plus, ce genre de chemisier. En fait, Mon tailleur sait que Je porte ce chemisier, que c’est comme ceci, comme cela. Il a Mes mensurations. Donc Je n’ai qu’à lui dire: “Trouvez-Moi un tissu de ce genre, et faites-Moi juste un chemisier.” Et il le fait. Pendant tant d’années, Je n’ai eu, pendant environ vingt-cinq ans, J’ai eu un seul tailleur à travailler pour Moi. Il n’a pas de problème, Je n’ai pas de problème, aucun souci. Si chaque jour Je dois changer de patron, faire une nouvelle emmanchure et un nouveau genre de chemisier, J’en aurai mal à la tête, Je veux dire, Je vous le dis.

Alors pourquoi, pourquoi faire cela? A quoi cela sert-il? Qui voit, qui est affecté par cela? Donc nous gaspillons inutilement notre énergie sur ces choses. Mais Je ne dis pas que vous devriez être enrégimentés, en aucune manière, mais ce que Je veux dire, c’est que, partout où vous pouvez économiser votre énergie, vos pensées, vous devriez le faire. Pour de toutes petites choses, il n’y a pas besoin d’avoir de la variété. Et dans ce pays, comme Je vous l’ai déjà dit, chaque robinet doit être différent, chaque poignée doit être différente, chaque carrelage doit être différent—à quoi bon?

Ce qui doit être différent, ce sont les choses artistiques. Un sari doit être différent parce qu’il est artistique. Mais qu’y a-t-il dans la confection d’un chemisier, il n’y a pas d’art impliqué là-dedans. Donc tout ce qui est artistique doit être différent, mais ce qui est quelconque n’a pas besoin de l’être.

Pour les mécanismes, pourquoi devriez-vous avoir différents types de choses, vous deviendrez fou. Si vous allez dans un magasin, il y a vingt types de choses, vous ne savez pas laquelle acheter, toutes faites à la machine. Ceci est bon, cela c’est bon. Ensuite un autre gars arrive et dit: “Ce n’est pas bon.” Alors vous vous sentez blessé. Mais si vous avez moins de choix pour des choses basiques, c’est mieux, vous en aurez moins mal à la tête.

Donc la meilleure chose pour éviter tous ces problèmes, c’est d’utiliser votre nouvelle conscience des vibrations. Ainsi vous économisez votre énergie. Votre énergie doit être économisée, et elle peut être économisée si vous ne prêtez pas attention aux choses qui ne sont pas dans votre style, où vous n’avez pas à aller. Regardez juste les vibrations.

Si Je vais faire des courses—en fait Je vais faire des achats pour différentes raisons, comme vous le savez. L’une est d’y apporter Mes vibrations, une autre est d’apporter aussi des vibrations aux gens qui sont au marché. Troisièmement, c’est pour regarder toutes les choses, afin que Mes vibrations les atteignent. Quatrièmement, pour acheter quelque chose à donner aux autres. Mais si J’aime quelque chose, c’est seulement à travers les vibrations, et Je l’achète, d’une certaine manière, car il doit être donné à quelqu’un ou quelque chose doit être fait plus tard. Je l’achète simplement, Je le garde, Je l’ai sous la main.

C’est ainsi que devrait être votre attitude. Mais au contraire si vous continuez juste: “J’aime ceci, je n’aime pas cela”, pour votre épouse, votre travail, et tout cela, vous serez incertain.

Ces temps-ci en Amérique, les gens sont très bizarres, pour leur travail aussi. Je dois aborder ces points parce que vous affronterez ce problème. Aujourd’hui ils font un travail: “Je ne l’aime pas, je n’aime pas mon patron”—un autre travail. Puis ils prendront un autre poste, ils changent. Puis un troisième travail, ils changent. Ils aiment changer, vous savez, tout le temps—c’est exaspérant, Je vous le dis.

Changer de femme, changer de maison, changer tout. Pourquoi? Avoir une seule épouse, c’est mieux. Au maximum, ayez deux emplois durant votre vie, c’est mieux. Et au plus, changez de maison trois fois, c’est mieux. Mais davantage c’est un casse-tête. Je veux dire, Moi, J’ai changé quarante fois de maison, à cause du tempérament de Mon mari. Mais Je suis différente, parce que Je suis vraiment une personne qui ne s’inquiète de rien, quels que soient les changements.

Mais vous n’êtes pas pareils, alors ne gaspillez pas votre énergie. Donc ceci est très important à comprendre: ne pas changer de travail sans arrêt, c’est très important. Parce que c’est aussi une vogue, Je vous le dis.

Je vais vous parler de Douglas. Il avait l’habitude de faire cela. Chaque fois il avait un problème financier parce qu’il changeait de travail. Alors un jour Je lui ai dit de cesser. Je lui ai dit: “Douglas, si tu quittes ce travail”—parce que J’ai vu que les vibrations étaient bonnes—“si tu quittes ce travail, tu ne Me reverras plus.” Et maintenant il a une maison, il a une voiture, il a de l’argent à la banque, il s’en sort bien.

Donc cela aussi, c’est un casse-tête pour Moi: “Mère, je n’ai pas de travail, je n’ai pas d’argent. Que dois-je faire?” Chaque fois, il y a des gens qui viennent en Inde et Me disent: “Mère, je n’ai pas d’argent, je suis désolé, je n’ai pas pu Vous payer.” OK, cela ne fait rien. Il y en a au moins—la dernière fois aussi il y avait cinq personnes. Mais avant cela, Je pense qu’il y en avait environ vingt personnes. Et alors chaque fois cela se passe comme cela.

Donc maintenant nous devons comprendre que nous devons avoir un bon travail. Nous devons être des gens respectables. Nous devons avoir de bonnes qualifications; si possible, il vaut mieux avoir certaines qualifications. Vous êtes tous des gens très intelligents et vous pouvez avoir des qualifications. Vous devriez avoir une certaine respectabilité dans la société. Sinon, on pensera que cette Mère est la Mère de tous les mendiants.

Donc établissez-vous dans votre travail, dans votre maison. Pour vous établir, vous devez apprendre à ne pas changer. Le changement vous rend instable—vous comprenez? Donc il n’est pas question de changer: “Je vais y arriver.” Ensuite, si c’est nécessaire, si ce n’est pas tolérable, alors on peut changer.

Cela s’applique à tout. En fait, la recherche de gourous n’est rien d’autre que du changement. Plus vous avez de gourous, plus J’ai de casse-tête. Si vous n’avez qu’un seul gourou, disons, un horrible, ça va, il est facile de vous purifier. Mais si vous êtes allé en voir vingt, que dois-Je faire?

Il y avait quelqu’un qui était allé chez tant de gourous que Je n’arrivais pas à comprendre sa personnalité. Je lui ai demandé: “Que se passe-t-il?” Les problèmes, il les avait tous! Je Me suis dit: “Quel genre de type est-ce?” Alors Je lui ai dit: “Bien, écrivez le nom de tous les gourous chez qui vous êtes allé.” Il a rempli trois feuilles grand format des deux côtés. Je lui ai dit: “Je suis désolée, Monsieur, Je ne peux pas vous aider.” Il a répondu: “Mère, Vous le devez, parce qu’il y a un problème très urgent.” J’ai demandé: “Quel est ce problème urgent?” “Maintenant je deviens une femme.” J’ai dit: “Ah bon?” “Les docteurs ont dit que maintenant je deviens une femme.” J’ai répondu: “C’est vraiment un problème urgent!” J’ai ajouté: “Cela, Je peux l’arrêter, mais vous aurez besoin de beaucoup de nettoyage.”

Et parfois il ressemblait à Hanuman, parfois il avait l’air d’un fou, il lui arrivait de ressembler à n’importe quoi, parce que tant de gourous agissaient en lui. Au bout du compte, il s’est nettoyé et son problème a été résolu, mais même maintenant Je ne dirais pas que c’est un Sahaja Yogi; même s’il est très savant, il connaît tout du sanskrit, parce qu’il est allez chez tant de gourous, il est allé chez tous les types de gourous. Cela, c’est arrivé à cause du changement—“Qu’y a-t-il de mal?” Donc, une fois que vous venez à Sahaja Yoga, arrêtez cela. Arrêtez tout le reste.

Le deuxième point sur lequel J’ai insisté, c’est qu’une fois que vous venez dans Sahaja Yoga, concentrez-vous sur Moi et sur Sahaja Yoga d’abord, et ensuite sur les autres choses. Par exemple, lorsque des Chrétiens viennent à Sahaja Yoga, ils ne peuvent pas accepter Ganesha. Les Indiens qui viennent à Sahaja Yoga ne peuvent pas accepter le Christ. Les Musulmans qui viennent à Sahaja Yoga ne peuvent pas se mettre au Pūjā. Chacun vient avec un boulet derrière lui.

Donc il vaut mieux venir remettre tout cela à Mes pieds, terminé! En fait, vous voyez cela à travers Mon prisme, à travers Moi—il vaut mieux le comprendre de cette façon. Et ceux qui M’ont comprise de cette manière comprennent simplement Sahaja Yoga de manière parfaite. Il n’y a pas de fanatisme du passé, ni de Sahaja Yoga non plus. Donc ils comprennent que tout ceci est semblable à Mère, et qu’il n’y a pas lieu de s’en tenir à une seule chose ou à une autre. Mais cela ne veut pas dire qu’en M’appelant la Déesse Kali vous M’insultez, ou qu’en M’appelant Mātājī Nirmala Devī vous M’élevez—tout cela est présent.

Donc on doit comprendre que tout ceci est relié à nos propres compartiments. Dieu n’a pas de compartiments comme cela. Ce n’est pas que cette Amérique existe dans Son esprit, ou qu’autre chose existe dans Son esprit. Existons-nous comme: “Maintenant je suis seulement mon Vishuddhi”?—existons-nous comme cela? Ou: “Je suis seulement mon nez”—oui? Nous existons en tant que corps entier. Donc Dieu existe—même s’Il a un nez, Il a des oreilles, disons, tout est là; mais Il existe en tant que Dieu. Il n’existe pas en tant que nez séparé, ou en tant qu’Amérique séparée, mais Il existe en tant que tout, toute chose est reliée au tout.

Et lorsqu’une telle chose nous arrive, que nous sommes maintenant reliés au tout, à l’Etre Primordial, nous ne devrions pas nous identifier à quelque chose qui nous restreigne à cause de nos conditionnements. Aucune localisation ne devrait exister, nous devrions être en circulation.

Je trouve qu’il est difficile pour les gens qui ont été catholiques de vénérer Shri Ganesha avec le même respect, parce qu’ils sont conditionnés. Alors essayez de laisser le Christ pendant un moment, laissez-Le complètement tranquille. Venez à Sahaja Yoga, et ensuite vous Le verrez sous l’angle correct.

Car c’est cela le problème, tant que vous ne vous tournez pas vers l’intérieur pour voir vous-même que tous les chemins conduisent à cette chose unique, donc ils sont donc pareils, il n’y a pas du tout de différence. D’abord allez à l’intérieur. Abandonnez tout, venez à l’intérieur. Alors vous saurez que tout cela est pareil. Et cela, c’est très important, et une fois que vous le voyez, c’est une chose si magnifique que vous n’avez aucune complication d’aucune sorte, liée à une secte particulière, un gourou particulier ou une chose particulière.

Même les soi-disant religions sont comme des sectes; si vous les observez, elles sont comme des sectes, elles ont des conditionnements. Elles ne vous ont rien donné d’autre que des conditionnements et des illusions. Donc nous ne devons pas vivre d’illusions, nous devons vivre dans la réalité. Et la réalité, c’est que toutes ces essences sont une, et nous devons être en Elles pour pouvoir Les voir, tous en un.

C’est aussi une chose très importante dans un pays comme l’Amérique, Je le sens, parce qu’il y a des idées si diverses, des idées si diverses que J’en suis étonnée. Tout ce que vous pouvez imaginer existe en Amérique. L’autre jour, J’ai parlé d’une chose appelée les Mormons, les Mormons ou autre chose. Les Mormons. Il y a tout en Amérique.

Je ne sais pas comment toutes ces variétés se sont rassemblées ici. Toutes sortes de gourous, Je veux dire, vous les découvrez ici. Je n’avais jamais entendu parler de tant de noms. Chaque fois que Je viens, Je découvre qu’un nouveau gourou est apparu. Pourquoi l’Amérique est-elle l’endroit où ils prospèrent tous comme cela, comme des champignons, vous voyez? Un champignon qui pousse, c’est—est-ce quelque chose de pourri? Seuls les champignons poussent comme des moisissures. Ce pays est-il en train de pourrir?

Que se passe-t-il? Pourquoi? C’est le mental des êtres humains. L’esprit des êtres humains ici veut toujours de nouvelles choses, et c’est pour cela que l’offre apparaît. Et par conséquent ils deviennent instables. Donc le principal problème du caractère américain, c’est que ce sont des gens très instables.

Vous leur demandez: “Comment allez-vous?” Ils répondent la même chose… Comprenez ce que vous voulez. Mais eux ne diront jamais: “Comment allez-vous?” Que comprenez-vous à cela? Je veux dire, un Indien ne peut pas comprendre. Si quelqu’un dit cela, un Indien, vous voyez, si vous lui demandez: “Comment allez-vous?” et qu’il répond comme cela, on demandera: “Vous êtes fou?” Ensuite si vous leur demandez: “Comprenez-vous ceci?” “Je ne sais pas trop.” Un Indien ne dira jamais une chose pareille: “Je ne sais pas trop.” Il est trop sûr de lui. “Je ne suis pas sûr” cela veut dire, êtes-vous fou ou quoi? Pourquoi êtes-vous confus? Quelque chose ne va pas dans votre cerveau?

Donc toutes ces idées, vous voyez, penchent vers notre instabilité, notre frivolité, notre superficialité. Vous êtes vraiment bombardés de superficialité, bombardés, Je peux le voir. Absolument de partout, vous voyez, les media, ceci, cela: tout n’est que superficiel. Cela tue vraiment le germe intérieur dans l’être humain. Et vous voulez vivre avec cela, puis vous voulez penser selon ces lignes, et en réalité vous vous perdez, tout contact avec vous-même est perdu.

Malgré toutes ces circonstances, il faut reconnaître un seul fait magnifique, c’est que tant de chercheurs sont nés dans ce pays. C’est l’Amérique que J’ai visitée en premier. Et Je suis sûre que San Diego est l’endroit où cela commencera, J’en ai le sentiment. [marathi] Donc, ici c’est un endroit très important, et Je suis contente, Je suis heureuse que vous ayez organisé ce merveilleux Pūjā, et nous devons faire ce Pūjā. Et Je suis sûre qu’à travers cela, nous aurons une période, qu’arrivera une période particulièrement bonne, où nous aurons d’un côté l’évolution américaine, de l’autre la mexicaine. Cela nous pouvons y arriver depuis San Diego.

C’est une journée magnifique que vous avez demandée pour ce Pūjā. J’en suis très heureuse. Aujourd’hui, c’est le jour de la Déesse, [marathi] –trayodashi. Trayodashi, c’est le meilleur, le treizième jour [de la lune]. [marathi] Regardez les vibrations, vous n’avez pas besoin de Pūjā! Il n’y a aucun besoin de faire un Pūjā, vraiment, c’est trop aujourd’hui. Donc aujourd’hui est un grand jour, et Je suis heureuse qu’il ait demandé ce Pūjā ici.

Donc, maintenant pour commencer… En fait, si vous avez des problèmes, des questions, vous devez Me le faire savoir. Il y a une chose: un Sahaja Yogi ne doit pas être une personne sérieuse, c’est une chose. Cela ne convient pas à un Sahaja Yogi d’être sérieux. Vous devriez sourire, rire, vous amuser. Si c’est une personne sérieuse, alors ce n’est pas un Sahaja Yogi.

Je ne peux pas rester sérieuse plus de cinq minutes, au maximum cinq minutes. Même si Je dois gronder quelqu’un, Je Me prépare, puis Je descends et Je crie, et ensuite après cinq minutes, si Je ne M’enfuis pas, ensuite vous Me retrouverez en train de rire encore. Je n’arrive pas—tout n’est qu’une plaisanterie!

Donc personne ne devrait être sérieux, c’est une chose. Personne ne devrait être sérieux. Vous devriez toujours être des gens souriants et heureux, parce qu’il y a de la joie en vous. Qu’y a-t-il? Simplement en pensant: “Je suis misérable, je suis misérable”, vous voyez—c’est le style français!

Les Français, vous savez, lorsque Je suis allée là-bas la première fois, ils M’ont dit: “Mère, Vous avez l’air trop heureuse”—pour les Français. Alors J’ai dit: “Que dois-Je faire?” Ils ont dit: “Voyez-Vous, ils sont très…, ils pensent qu’ils sont des gens très misérables, ceci, cela.” Alors J’ai dit: “D’accord.” Donc J’y suis allée et J’ai dit: “Alors, vous êtes tous les misérables”—vous savez, Victor Hugo a écrit “Les Misérables”—alors J’ai dit: “Alors, vous les misérables.” En fait, Je suis une personne qui n’est pas misérable du tout. Et vous serez misérable en tous cas si, toutes les trois maisons, vous avez un bar, toutes les dix maisons vous avez une prostituée, alors qu’arrivera-t-il? Je veux dire, vous baignez là-dedans. Voilà ce qu’il en est.

Et même Yogi Mahajan M’a dit: “Mère, nous voulons une photo de Vous qui soit très sérieuse, il est difficile d’en avoir, et nous devons mettre un visage qui soit très sérieux.” Et au bout du compte il s’est retrouvé avec une photo qui était épouvantable. Lorsqu’il M’a dit: “C’est une très bonne photo, Vous avez l’air si sereine,” ceci, cela et toutes les descriptions, lorsque J’ai vu la photo, J’ai dit: “Elle est affreuse!” Il a dit: “Vraiment?” J’ai dit: “D’accord, laissez-Moi vous dire qui l’a prise.” Il a demandé: “Qui?” Je lui ai donné le nom et il a été choqué. Je lui ai dit: “C’est la dame qui vous l’a donnée, et vous savez où elle est aujourd’hui.” Il a été choqué lorsque Je lui ai dit le nom: “Jane!”

J’ai dit: “C’est la photo que vous envoyez aux Américains.” Mais Je sais que les Américains seront attirés par cette photo, parce qu’ils sont eux-mêmes misérables, vous voyez. Mais les gens qui sont attirés par ce genre de photo laisseront tomber en un rien de temps, ils ne s’accrocheront pas—vous ne comprenez pas ce point. Ils ne sont pas du genre à s’accrocher.

C’est comme en Ecosse, J’y suis allée et J’y ai vu une photo et J’ai eu un choc. Nous étions allés dans un restaurant, où nous devions prendre le repas, et J’ai vu une photo de Moi et J’ai demandé: “Qui a fait celle-ci?” Ils ont répondu: “C’est une copie d’une des photos australiennes. J’ai dit: “Mais qui l’a faite? Parce qu’elle n’est pas bien—très mauvaise.” Alors ils ont répondu: “Elle a été faite par quelqu’un, rapidement.” J’ai dit: “Je vais nommer cette personne,” et Je leur ai dit qui l’a prise: Hilary. Ils en étaient tous étonnés. J’ai répété: “Cette photo n’est pas bonne.” Mais maintenant ils l’avaient mise partout. J’ai dit: “Tant pis!”

Tant de personnes sont venues à Mon programme, toutes bizarres, vous savez. Certains avaient un œil, certains avaient un nez, certains avaient quelque chose d’autre qui n’allait pas, il leur manquait quelque chose. “Oh, Mon Dieu,” Me suis-je dit, “c’est à cause de la photo.” Et pas une personne n’est revenue. Nous avons eu au moins cinq ou six cents personnes pour le programme, toutes comme cela, vous voyez. [marathi] Et aucune d’elles n’est revenue, pas une seule personne. Tous des bhoots, attirés par le bhoot; et Je pouvais voir sur Ma photo qu’elle repoussait simplement.

Donc ceux qui prennent une photo de Moi se réfléchissent aussi dans la photo. Vous devez avoir vu la photo de Ray, qui est très bien sortie. Je ne sais pas laquelle est celle de Ray ici, mais les photos de Ray étaient d’habitude très bonnes. Et cette fois-ci, Ray a une femme bizarre, Je crois.

Il est allé en Inde et des Indiens M’ont raconté: “Mère, je ne sais comment ce Ray est si abîmé.” En Inde cela n’arrive pas. Une fois qu’ils sont Sahaja Yogis, ils s’améliorent. Mais ce gars était juste l’inverse—alors que faire? Ils ont dit: “Mère, il est tombé très bas, que faire?” J’ai répondu: “Quelque chose a dû mal se passer. Que faire?” Lorsque Je suis revenue, vous voyez, Ray a apporté trois ou quatre photos de Moi. Lorsqu’il les a montrées, tout le monde a été choqué: “Ce ne sont pas des photos de Mère.” Et il a dû les retirer. Voilà ce qu’il en est. Le même Ray qui prenait de si belles photos prenait désormais des photos horribles.

Donc, dans tout ce que vous faites, tout ce que vous accomplissez, vous pouvez le discerner. Vous devenez tout à coup une personne extrêmement distinguée, on peut dire, avec beaucoup de finesse, une fois que vous êtes un bon Sahaja Yogi. Tout coule correctement. Vous pouvez vous en rendre compte, les manières très simples d’une telle personne sont si agréables et si apaisantes.

Donc, sur ces points, J’ai abordé beaucoup de choses que Je voulais dire, et pour en terminer avec cela, Je dirais qu’en tant que Vishuddhis, vous devez devenir le sakshi, le témoin. Vous devez devenir le témoin. Et pour devenir le témoin, il doit y avoir un certain détachement. Cela ne veut pas dire que vous viviez avec peu de moyens, pas du tout, mais essayez d’avoir un certain détachement.

Grâce à Dieu, cette fois-ci l’expérience des Sahaja Yogis d’Amérique n’a pas été si mauvaise. C’étaient des gens très bons, ils se sont bien adaptés et ils se sont bien amusés. C’était bien. Et J’espère qu’ils viendront de plus en plus nombreux et qu’ils apprécieront.

Et, comme vous le savez, la nouvelle programmation a eu lieu. Il vaut mieux que vous nous disiez si vous venez ou pas. Mais également ne changez pas à la dernière minute, cela crée des problèmes pour nous, pour tout le monde. Alors, s’il vous plaît, ne changez pas; si vous ne venez pas, ce n’est pas grave. Vous aurez une certaine date: avant ce moment-là, décidez et ne changez pas. Vous voyez, il n’y a que les Américains qui ont fait cela, personne d’autre. Et nous avons dit aux gens: “Maintenant, ça suffit, donnons plus de chance aux Américains de venir, nous devrions leur donner plus de chance; mais non, vous ne venez pas.”

Alors, les pauvres, ils sont venus pour dix jours, cinq jours, parce que nous n’avons pas pu organiser pour eux. Donc vous ne devriez pas changer d’idée. Si vous venez, vous pouvez décider à un moment donné si vous venez ou pas. Si vous ne venez pas, dites simplement: “Non, nous ne venons pas,” ou si vous venez, dites simplement: “Oui, nous venons,” et vous le faites. Au moins là-dessus vous ne devriez pas changer.

Donc, de nouveau, Je vous demande de respecter vos prévisions et tout cela, sinon cela bouleverse tout l’ensemble. Car maintenant nous travaillons au rythme du Divin, et ce n’est pas à nous de bouleverser Son rythme. Vous pouvez être Américains, mais, comme vous le savez, dans Sahaja Yoga les Américains ne sont pas très haut placés. Vous le savez très bien. Et nous pensons que les Italiens s’en tirent bien mieux; ils se mettent à Sahaja Yoga simplement comme un poisson dans l’eau. Donc les Américains doivent travailler un peu plus dur, ils doivent faire un peu plus pour arriver à ces ajustements.

Que faire? Un si grand pays, tant de chercheurs, mais ils sont déjà abîmés—que dois-Je faire? Je fais de Mon mieux. Vous devriez tous aider et comprendre les difficultés, et vous devez être gentils envers les nouveaux et faire en sorte de les corriger. Donc nous devons penser à notre ascension spirituelle à partir de San Diego, et de ce coin, nous allons illuminer l’ensemble de l’Amérique.

En pratique, J’ai décidé que Dr. Worlikar serait en charge de la côte Est [marathi]—non, de la côte Ouest. Pour nous, New York est déjà à l’Ouest, d’accord? Et la côte Est, c’est-à-dire la côte de New York, peut être gérée par lui. Parce qu’il y a…—c’est comme deux pays, deux pays, deux types de choses différentes. Donc voilà comment cela doit être géré.

Pour l’argent, vous devriez vous occuper des aspects d’argent uniquement avec son accord. Donc Je lui ai expliqué comme Je le fais: l’argent est conservé à la banque sous le nom enregistré, ou peu importe, et ils ont le chéquier, mais c’est Moi qui dois signer. Donc ici, vous gardez le chéquier, mais c’est lui qui doit signer, afin qu’il voie ce que vous dépensez. Donc il y a un contrôle. Ou bien vous faites la même chose là-bas, elle garde le chéquier, mais vous signez, donc vous savez combien est dépensé. Donc il y a un contrôle. Bien sûr, en ce qui vous concerne, Je sais que tout va bien, mais cependant…

Pourquoi Je fais tant de choses, c’est simplement pour vous faire comprendre. Par exemple, si vous Me donnez l’argent du Pūjā, Je garde un paquet pour cela. Je garde un compte de cela. Il n’y a pas besoin: qui va Me demander ce que J’ai fait avec l’argent du Pūjā? Mais Je le fais, Je garde une trace. Et ensuite ce que Je fais avec l’argent du Pūjā, c’est que Je veux l’utiliser pour vos ustensiles de Pūjā, des choses pour le Pūjā, pour des cadeaux et tout cela. Donc Je garde une trace. Je n’ai pas besoin de le faire, c’est Mon argent, au moins celui-là est à Moi, mais cela Me fait plaisir. Donc, on doit le comprendre: “Si Mère est si stricte avec cela, pourquoi pas nous?”

Vous devez donner de l’argent au Pūjā, pas de doute, parce que cela doit être ainsi. D’abord nous prenions un penny. Puis Je suis passée à deux pence, puis à cinq pence, dix pence—cela a augmenté comme cela. Et alors pour ces Pūjās, pour les Pūjās principaux que nous aurons, dont un à New York, ils ont décidé d’un certain montant. C’est votre décision, Je n’ai jamais rien dit, parce que Je ne suis allée que jusqu’à une livre, J’en étais là.

Ensuite Je ne sais pas, Je Me suis perdue en discutant avec ces gens. Donc, quoi qu’ils décident, c’est là, l’argent qui est collecté sous le nom du Pūjā, et que Je dois prendre pour le Nabhi Chakra. Vous devez le faire avec le cœur, simplement comme dans le style Shabari, et tout se mettra en place correctement.

Donc on peut dire que Sahaja Yoga n’est pas une chose extrême. Nous donnons effectivement de l’argent; seuls les Sahaja Yogis peuvent faire un don d’argent. Par exemple, pour la nourriture ici vous devez payer, pour la maison vous devez payer. Vous payez bien, vous ne vivez pas ici en parasites. Nous ne voulons pas de parasites autour de nous. Mais cela ne signifie pas non plus que vous voliez un Sahaja Yogi complètement, que vous le mettiez sur la paille pour construire vos propres Rolls Royce’s!

Donc ce n’est pas non plus l’inverse, que ce soit vous qui Me voliez. Donc on doit comprendre que Sahaja Yoga c’est donnant-donnant, selon certaines bonnes manières, et cela doit être fait correctement, avec grâce, avec compréhension, avec le sentiment magnifique que nous sommes tous partie intégrante du tout. Et cela, l’Amérique en est responsable, parce que l’Amérique doit devenir le Virat. Le Vishuddhi doit devenir le Virat. Quelle responsabilité!

Alors ne vous disputez pas entre vous, ne vous disputez pas entre mari et femme. Essayez d’être un, en complet unisson, appréciez-vous l’un l’autre. C’est très important. D’accord?

Alors, que Dieu vous bénisse! [marathi: Ceci c’est la place du Virata] Même maintenant le Vishuddhi droit est bloqué. Bon.

[marathi – instructions pour le Pūjā]

Maintenant, Je voudrais que ceux qui ne M’ont pas encore lavé les pieds s’avancent. Un par un. [marathi] Laissez-les gérer la situation… ils peuvent le faire. Danny, viens ici aussi. Maintenant, deux personnes le feront à la fois. [marathi] C’est de l’eau très froide. [marathi] Très bien, très bien. Très, très bien. Frottez. Frottez-Moi les pieds.

Maintenant regardez juste vos vibrations. D’accord? C’est bon? Que Dieu vous bénisse! Maintenant approchez. Elle devrait être chaude. [marathi] Approchez, tous les deux. Que Dieu vous bénisse! Frottez. Mettez-le sur celui-ci. Frottez. [marathi] Terminé! Maintenant approchez—regardez vos vibrations. Maintenant continuez à sourire comme cela, ce n’est pas grave, ce n’est rien—le sari pourra sécher. Que Dieu vous bénisse!

Sur les yeux et la tête, essuyez-le. Approchez. Très bien. Que Dieu vous bénisse! Tenez-le d’une main, fermement, et avec l’autre main, frottez-le fort. Ah, c’est bon. Vous pouvez bien sentir les vibrations. De la main droite, gauche, frottez-le—le dernier doigt, retirez-le. Le dernier doigt, retirez-le. Il l’a eu. Maintenant regardez vos vibrations. Que Dieu vous bénisse! Sur les yeux et la tête. Approchez. Votre visage a changé avec cela! D’accord? Bien. Que Dieu vous bénisse! Parfait.

[marathi] C’est tout. Approchez. C’est mieux. Bien, maintenant, tenez-le fermement. Frottez toute la main. Vous voyez, c’est la main, votre main qui doit être frottée, pas Mes pieds. Enlevez-cela. Tirez-le fermement. Ah!

[marathi] Mm, bien. Je pense que ça va. Maintenant asseyez-vous simplement, de ce côté-ci. D’accord? Vous pouvez le garder. Mettez-le sur votre tête. Sur votre tête, et ensuite essuyez-vous les yeux aussi. Que Dieu vous bénisse!

Je pense que vous pouvez venir avec lui, c’est bien. Ca va. Un peu d’eau. Maintenant, ils peuvent utiliser cette eau pour Mes pieds. Approchez. Que Dieu vous bénisse! Maintenant… Tenez-le. Frottez-le fort. Frottez-le fort. [marathi] Regardez maintenant. Maintenant. D’accord? Regardez, le gauche est—un petit peu. Bien. En étant assis, mettez juste la main gauche vers Moi, la main droite sur la Terre Mère. Bien? Que Dieu vous bénisse!

[marathi] Bien. Maintenant, regardez-vous simplement. Comment allez-vous? Bien? Vous ne sentez pas encore? Bien. Très bien. Que Dieu vous bénisse! [marathi] Mettez la main gauche ici. Frottez.

Bien. Maintenant regardez vous-même. Ca va? Que Dieu vous bénisse! [marathi] Mettez-le juste sur votre tête d’abord, et ensuite sur vos yeux. C’est bon. Vous vous sentez bien? Ca brille, hein? Vous pouvez soulever un peu de ce côté-ci, celui-ci; ce côté-ci, oui. C’est bien. [marathi] Terminé! Regardez vous-même maintenant. Que Dieu vous bénisse!

A-t-il lavé? Son mari? Il M’a lavé les pieds? Et vous deux? Les deux ont lavé? Bien. Alors voulez-vous les laver encore? Bien. Venez maintenant. Tu vas bien, Jeshua? C’est mieux. Bien. Laissez-le jouer avec l’eau. Fermez ses mains. Demandez-lui de jouer avec l’eau, ce serait mieux. Dans l’eau. Demandez-lui de plonger ses pieds dans l’eau. Mets-le sur le Mien. Lave-Moi les pieds. Bien, bien, bien. Ensuite touche Mes pieds. Maintenant mettez ses mains sur les Miennes. Bien.

Hello! Bien. Alors, que Dieu vous bénisse tous! Il va bien maintenant. Vous avez lavé, vous avez lavé tous les deux? [marathi]

Mettez juste davantage d’eau. Versez tout cela, Je pense. Et il en faut davantage. C’est mieux. [marathi]

Les cent-huit noms. Vous avez dit les cent-huit noms que vous avez. Les cent-huit noms. Vous M’avez montré les mille noms que vous aviez. Ici, il y en a… cent-huit. Ce sont les cent-huit noms? … de Mahakali. Oh, prenez cent noms. Cela commence par Shri Mata? Enlevez celui-là, d’accord? … Sahasranama. Oui, nous avons Shri Lalita. [marathi]

Ceci, ce sont les louanges après que la Déesse a tué les deux rakshasas appelés Shumba, Nishumba. Ils sont tous de nouveau sur leur siège. Donc maintenant les louanges aux Dieux, vous devez porter les mêmes louanges. En fait, nous commencerons—vous savez qu’il lira jusqu’à un certain point, et ensuite il vous dira de le chanter avec “Ya Devī sarva bhuteshu”—il vous dira “Buddhi”, alors vous devrez dire: “Ya Devī sarva bhuteshu Buddhi rupena samsthita” Vous savez cela—“Namas Tasyai namas Tasyai namas Tasyai namoh namah.” [marathi]

D’abord il en dira le début. C’est ainsi que les Dieux, vous voyez, faisaient l’éloge de la Déesse, lorsqu’Elle a tué Shumba, Nishumba. Donc… Tout d’abord, vous devez donner—comment l’appelle-t-on—le ghee. Mais il n’y a pas de cuillère. Pour le ghee au moins, vous avez des cuillères. [marathi] Egalement la Lune. Elle est comme la Lune. Son visage est comme la Lune… Juste de l’eau.

“Sarva”, c’est l’essence. Elle est Celle qui dirige toute chose. Extrêmement douce, et extrêmement sévère. Nous sommes l’intelligence. Elle est l’intelligence dans chaque être humain. Elle S’exprime en tant qu’intelligence, pure intelligence dans chaque être humain. … Donc vous dites juste “Shraddha.” Et maintenant vous répétez ensemble. Dites: “Shraddha”—dites-le maintenant.

Cela doit être le sucre et ensuite l’eau.

Des filles non mariées maintenant. [marathi] Non mariées. [marathi] Elle avait l’habitude de le faire à Bombay. [marathi] Faites-le aussi de la même façon. [marathi] Maintenant. [marathi] Vous devriez dire: “Sakshat Shrī Mātājī Shrī Nirmala Devī namoh namah. Shrī Mātā sakshat Shrī …” – que dites-vous? Dites juste: “Om twamewa sakshat Shrī Mātā,” c’est tout– “namoh namah.” Oui, c’est tout. C’est tout.

[Yogi: Ce sont cent-huit noms extraits des mille noms de Mahadevī donnés dans le “Shrī Lalita Sahasranama.”]

D’abord, il y a “ Shrī Mātā.” Alors dites-le maintenant. [marathi]

“Pataka nashini”—destructrice de tous les péchés. Donc c’est pour cela que J’ai dit: “Ne vous sentez pas coupable.” Elle est la destructrice de tous les péchés. Maha-pat: la plus grande de—Maha-pataka nashini.

“Nistula”—c’est-à-dire “incomparable.” [marathi]

Vous devriez tout d’abord toucher ici. D’abord. [marathi] Allez vous laver les mains. Des femmes non mariées. Non mariées.

[marathi] Avec la Para-shakti, tout le travail qu’Elle regarde se réalise.

“Yogada.” [marathi] Je vous ai donné le Yoga, vous voyez, l’Union.

“Labdhaa. Punya-labhya”—par les punyas. Vous voyez, si vous n’avez pas de punyas, vous ne pouvez pas en trouver. Donc si beaucoup de gens sont perdus, vous ne devriez pas vous inquiéter; ils n’ont pas de punyas. Que pouvez-vous y faire? “Punya-labdhaa.”

“Shobhana-sulabha-gati” – “Shobhana” signifie “gracieux”, “sulabha” signifie “facile” et par cela, “gati” … “mouvement.” Vous obtenez votre Réalisation à travers “Shobhana-sulabha-gati.” Il n’y a pas de comportement disgracieux, ou bien c’est fait de manière très belle, et également “sulabha” c’est-à-dire “facilement.”

“Shubha-kari”—Celle qui donne l’auspiciosité. [marathi]

Pas le rouge. Non, pas le rouge. Maintenant, deux. [marathi] Non mariées. [marathi] Une, une seule personne. Bien, vous toutes! Vous devez toutes le tenir à la main. Maintenant, tenez-le dans votre main, vous toutes, ici. En fait, à partir du haut. Oui, tenez-le simplement, de la main droite. Tenez-le avec la main droite. Ici, une peut le tenir. Maintenant, mettez-le. Merci.

“Pasha-hantri, Pasha-hantri” [marathi]—Vous voyez, ils sont en esclavage. Elle est Celle qui détruit tous les esclavages, pash. Que Dieu vous bénisse!

“Vandaru-jana-vatsala”—pour ceux qui s’inclinent devant Elle, Elle est… Elle est gentille avec eux comme une Mère. Elle les materne. Ceux qui s’inclinent devant Elle, Elle les materne.

Que Dieu vous bénisse! [marathi]

Désolée. Je vais vous dire comment il faut faire, vous voyez. D’accord? Vous devez aller d’avant en arrière, sinon les cheveux commencent à revenir devant. C’est bon pour vous? Tenez-le simplement. Il est plutôt grand, vous voyez—juste une minute, Je le prends. Tenez-le, hein? Je le mets juste bien. Tenez-le simplement.

Pour Krishna—ici c’est le pays de Krishna, vous voyez, et tout doit être à l’envers. Bien. Gros problème! Maintenant laissez-Moi voir. Maintenant c’est mieux. Oui, c’est une meilleure idée. Mettez-le de cette façon.

Je ressemble à une femme Peau-Rouge, ou Inca, dans le style Inca. D’accord? Les deux mains. Quelqu’un devrait prendre une photo d’ensemble. J’espère que vous aurez des photos miracles.

L’Aarti… [marathi]

Donnez juste un bandhan là. La Kundalini est très nette. Non, dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Non, non, là… Inclinez-vous juste. Voyons. Restez incliné. Nous voulons voir votre Kundalini. Elle est bien. Maintenant essayez sur lui. Déplacez-la simplement. Swadishthan. Cœur centre. Alors tenez-la fermement, tenez-la. Il va bien. Vous voyez juste sa Kundalini, au Nabhi. Inclinez-vous simplement. Il va bien?

Swadishthan gauche et Nabhi.

Venez maintenant. Un bandhan là. Maintenant vous allez bien. Vous allez bien.

Tout le monde. Voyons tout le monde. Il vaut mieux observer cela. Approchez juste une minute. Je veux voir la Kundalini de chacun. Maintenant c’est bon.

Maintenant Doug, tu vas bien. Tu vas bien. Sauf au Vishuddhi, à la gorge, un petit peu.

Bien, maintenant voyons voir, un par un. Maintenant mettez juste les deux mains vers l’avant. Regardez juste sa Kundalini. Approchez. Regardez ses vibrations. Ah. D’accord? Non, à gauche—ça ne va pas. Nous verrons, en fait. Michael. Retiens ta respiration. Retiens ta respiration. Hmm. Laissez-le. Laissez-le. Ah. Nabhi. D’accord? Ca va bien?

Voyons. C’est commencé maintenant. Vous êtes tous des perfectionnistes! Lui, c’est un perfectionniste. Le Cœur. Terminé! Un peu trop inquiet. Rien d’inquiétant. C’est fait maintenant, d’accord?

Elle va bien maintenant. Elle va bien. Vous allez bien? Pourquoi? Tenez-le, tenez-le là. Retenez votre respiration une minute. Relâchez maintenant.

Venez là. Cette dame-ci. Oui, venez ici. Elle est bloquée au Cœur Centre. Maintenant tenez-le… Asseyez-vous, asseyez-vous. Maintenant, penchez-vous. Hah! Relâchez. Cœur Centre… Vide… Elle est allée voir des gourous? Vous y êtes allée?… Je ne sais pas ce que c’est… Qu’est-ce que c’est?… Constructeurs de… Vous bloquez au Cœur Centre. Retenez votre respiration, s’il vous plaît. Relâchez. Retenez encore votre respiration. Hah! Relâchez. Retenez encore votre respiration. Vous allez mieux maintenant? Hah! Relâchez.

Comment allez-vous? Agnya gauche. Vous allez bien. Est-ce qu’elle va bien? Regardez ses vibrations. Elle doit travailler sur son côté gauche. Le problème est à gauche, Je pense. Cœur Centre [marathi] Ah! Maintenant c’est bon… Maintenant. Bien.

En avez-vous un comme cela? Un plus petit?… Ca va maintenant? Vous avez attrapé cela avec les autres. Ne vous inquiétez pas. Rien d’inquiétant. De première classe! Mettez votre main droite vers là. C’est bien. Et la main gauche vers Moi. Maintenant.

Pourquoi entendez-vous tant de choses? Juste maintenant prenez-le… Très bien, excellent. Dites-lui comment faire. Un peu de ce côté-ci. Dites-lui, un peu de ce côté-ci. Mettez-le, hah…

Nabhi gauche. Comment est-il?… Swadishthan gauche. C’est mieux? Depuis combien de jours avez-vous cela? Pas depuis longtemps? Depuis combien d’années? Mettez-le près de la lumière. Plus haut. Fixez la lumière là. Entre temps, vous devez retenir votre respiration. [marathi] Ah! Bien. Vous allez bien maintenant. D’accord?

Que se passe-t-il à Vancouver? Il faut méditer régulièrement, c’est la véritable façon. Maintenant, voyons… Patricia. Elle vient d’un ashram très strict—celui de Bala le grand! Vous allez parfaitement bien. Vous allez bien. Pas de problème. Bala viendra ici très bientôt, comme Hanuman, en Amérique. Mais vous voyez, lorsqu’il commence à tout corriger et tout cela, il va bien, mais ensuite parfois il est si fatigué qu’il devient le spécialiste des réclamations, vous savez—n’est-ce pas? Alors Je lui ai dit: “La prochaine fois, ne te plains de personne auprès de Moi,” sinon il deviendra… C’est terminé. Bien, il a fini. Excellent! Vous allez bien, d’accord, approchez.

Vous allez parfaitement bien. Oui, approchez maintenant. Si vous voulez que Je vous revoie… Tu vas parfaitement bien. Très bien. Pour le métier, tu dois maintenant t’accrocher à ton travail, d’accord? Ca va de droite à gauche, de droite à gauche—ce n’est pas bien, hein? Essaye simplement Mon métier! Que Dieu te bénisse!

Je pense que tu iras bien. Mais tu vois, ton Cœur se bloque, tout cela parce que, si tu commences à changer de travail, cela agit sur ton—mets les mains vers Moi. Tu vas bien, James, et cela malgré Santa Cruz! Que Dieu te bénisse! J’en suis vraiment très heureuse. Je ne savais pas que tu travaillais là-bas à Santa Cruz. C’est quelque chose qui M’inquiète beaucoup. Que Dieu te bénisse! Je suis très heureuse que tu sois là. Quelque chose avance. C’est bon. Tu es très bon. Sinon Santa Cruz pourrait être—[Yogi: Je devrais rester à Santa Cruz?] Oui, Je pense que toi, tu peux. Très peu de gens le peuvent, sans se bloquer, alors tu ferais mieux de rester là-bas. Alors que Dieu te bénisse!

Maintenant, qui d’autre? Donc tout le monde est passé? Très bien. Excellent… Maintenant. Il vaut mieux enlever le… si vous pouvez. C’est le Mien, d’accord, enlevez-le, cela ne fait rien. C’est mieux? C’est comme cela que vous pouvez traiter les gens, vous voyez? Ah, maintenant. A gauche… Nabhi gauche, Nabhi gauche. Vous allez bien. Hah, maintenant, c’est mieux? C’est mieux. [Yogini: Je ne devrais pas porter les autres anneaux?] Il ne vaut mieux pas, car parfois vos Chakras ne vont pas bien. Cela fait une pression… Comment? Oui, c’est ce qu’il faut.

Qui d’autre? Approchez, venez. Nabhi… Swadishthan… artiste? Hah! Ca va. Vous travaillez dans le restaurant, alors vous pouvez avoir…! Elle va bien. Approchez maintenant, qui d’autre? Ah, c’est mieux, n’est-ce pas? Je disais: cherchez un mari pour elle; parce que J’ai trouvé le vôtre en un rien de temps! Cela a été si rapide, si rapide, n’est-ce pas? Que ceux qui le nouent mettent leurs mains comme cela. Wah, wah, wah, wah, wah! Je pense que vous devriez juste prendre une photo.

Alors, Alex, tout le monde est passé? Approche. Voyons. Est-ce que tu vas bien maintenant? C’est mieux? C’est mieux maintenant.

Laissez travailler un peu. C’est bon. Hah, maintenant, ça va? A gauche. De droite à gauche. De droite à gauche. Ah, ça y est. Hah!… Hah! Terminé! D’accord?

Comment va-t-il? Amenez-le? Où est l’autre bébé? Où est-il? Shaun. Shaun, viens ici. Je voulais que tu viennes pour Me mettre ceci. Tu dois le faire—bien, tu vas bien maintenant. Que Dieu te bénisse—allons, allons, Shaun, tu dois Me mettre ceci sur le cou; elle fait sa timide, vous voyez.

Allez, celui-ci n’est pas timide. Allez, on va prendre celui-ci. Celui-ci n’est pas intimidé. Ohoho! Celui-ci n’est pas intimidé. Oh! Tu pleures, alors lui pleure aussi! Il est aussi… Allez, maintenant, ils ont fait le Pūjā, ils ont tout fait pour Moi, vous n’avez rien fait! Shaun, tu dois mettre des—Allez, laissez—ne la dérangez pas, ils dorment tous.

[Une Yogini demande le nom donné à son enfant auparavant] Prenez “Narasimha”, cela devrait être son nom. Où étais-ce? Narasimhini. Je vous ai donné le nom! Elle est née—quand est-elle née? [La Yogini: Le 5 juillet] Ah, c’est pour cela, parce qu’elle est un Lion. Vous pouvez lui donner un autre nom également, un nom simple. C’est un pouvoir de la Déesse, vous savez. Oh! Quelqu’un arrive! Ah! Vous pouvez l’appeler Kesar. Kesar. “Kesar” signifie “le pouvoir du lion.” Kesar. “Kesari”, c’est le lion, et le “Kesar”, c’est le pouvoir du lion; la même chose que Narasimha. C’est plus facile, Kesar. Que veut-elle? K-E-S-A-R. Kesar. Bien.

Il veut avoir quelque chose de plus. Que veux-tu, Shaun, que veux-tu? Shaun, que veux-tu avoir? Tu veux avoir ceci? Lequel veux-tu manger? Lequel aimes-tu? Tu as faim. N’importe lequel, prends-le.

Tout le monde est passé? Hello. Approchez, approchez. Que veux-tu? D’accord, d’accord. Laissez-le prendre quelque chose là-bas. Ils aiment tous le raisin. Là. Alors voyons pour vous. Vous devez vous incliner. Vous—elle doit toujours venir, oui.

Et toi? Tu en as, Je vois. Si mignon. Il est timide, c’est tout. Il est excellent, Shaun est excellent! Très beau, excellent, regarde maintenant! Maintenant ouvre lentement les yeux. Il est un peu timide.

[Des Yogis: Du beurre.] C’est vous qui l’avez fait? Vous l’avez fait ici? Vraiment? C’est super! Maintenant, prenez-le, c’est bon. Bien. Que Dieu vous bénisse! Approchez, laissez-Moi voir. Vous allez bien maintenant? Pas encore? Asseyez-vous plus confortablement. Vous êtes très fatigué. Mettez vous à l’aise, c’est important. Et maintenant voyons. De quoi s’agit-il? Son côté gauche est si fatigué aujourd’hui. Il y a encore de l’Agnya gauche. Et les Chakras du Swadishthan droit, du Cœur…

Maintenant approchez. David, mets cette lampe sur son dos. Ici. Et maintenant mettez vos deux mains vers Moi comme ceci. La lampe, prenez-la dans la main, celle-là, celle-là. Celle qui est devant vous. Maintenant, elle va bien. Elle va bien. Vous allez bien. Que Dieu vous bénisse! Vous allez bien.

Maintenant, qui d’autre reste-t-il? En marathi aussi, nous disons “I”, c’est “moi”, “I”. C’est mieux? En fait—cela agira. [Yogi: Shri Lalita] Cela bloque. Mettez la main droite sur la Terre Mère. Hah! Elle va bien. Vous allez bien. Que Dieu vous bénisse!

Viens. Comme tu grandis vite; tu dois donner la Réalisation! Hah! Bien. Elle va bien. Tu vas bien. Approchez maintenant. Vous êtes passés? Vous tous? Maintenant, à droite. Le Cœur. Swadishthan droit. Swadishthan gauche. Cœur. Des deux côtés. Le Cœur. La combinaison est bizarre—Swadishthan gauche et droit, et Cœur; Cœur Centre maintenant. [marathi] Hah! Retenez votre respiration. Faites comme cela, faites comme cela. Hah! C’est mieux? C’est mieux maintenant. Maintenant c’est mieux. C’est mieux, mais elle doit travailler.

Hello! Travaillez encore, parce c’est une combinaison curieuse: Swadishthan gauche, Swadishthan droit, Cœur et Sahasrara. E-G-O! Aussi simple que cela. Frottez Mon pied, d’accord? Encore. Maintenant, ce que vous faites, mettez votre main droite vers Moi, la main gauche en l’air. Voyons, un par un. Allez-vous mieux maintenant? La gauche est encore bloquée. Pourquoi ne prendriez-vous pas tous les deux des citrons et des piments? Ce serait une bonne idée. Qu’avez-vous fait? Etes-vous allé—Je ne sais pas ce que vous avez fait, Je n’arrive pas à comprendre. Vous aviez du côté droit, mais ce côté gauche, vous ne l’aviez pas. Nabhi gauche. Un foie très agité.

De cette façon vous allez bien mieux. Le Nabhi gauche va bien, mais pas le Swadishthan gauche. C’est votre psychologie. Est-ce que vous méditez? Vous voyez, J’ai simplement pensé que le côté droit diminuerait dans un endroit plus calme, pour qu’au moins votre vitesse diminue tout d’abord. Et ensuite cela ira mieux. Diminuez juste votre vitesse. Vous devriez dire: “Je ne fais rien.” D’accord? Remettez tout dans les mains de Dieu. C’est encore là? Ca va mieux maintenant. C’est très surprenant.

Qu’est-ce que c’est? Un cadeau? Ce n’est pas grave. Merci. Qu’est-ce que c’est—deux? Pas le droit d’avoir deux choses! Qu’est-ce que c’est? Je n’ai pas vu le cadeau! C’est son truc, Je vous le dis: J’étais en train de l’acheter, mais c’est lui qui l’a acheté! Oh, c’est magnifique. Alors nous nous sommes disputés pendant assez longtemps. Ce n’est pas facile de convaincre Mr. Danny! Mais celui-ci, c’est un tour que vous avez joué. Celui-ci oui, celui-là non. Celui-ci était difficile. Les deux autres, ça allait, mais celui-ci était difficile. C’est une pièce magnifique, tout de même, n’est-ce pas?

Ce sont des aimants? Magnifique. Très bon. Nous devrions avoir une valise où vous pouvez garder toutes ces choses, dans plusieurs boîtes. Vous voyez, si vous mettez ceci dans celle-là… Non, il disait, le docteur disait qu’il a un box qu’il va libérer. Mais pour l’instant ils n’ont pas téléphoné à ces gens-là. Ah, cela l’inquiète.

Bien. C’est mieux? Vous vous sentez mieux? Je pense que d’abord la situation financière devrait s’améliorer, et ensuite vous irez bien. Je pense que si vous allez vraiment au Mexique, cela rapporterait également de l’argent. Et Elle est aussi très intelligente. Que Dieu vous bénisse!

Mais pour s’établir, comment feront-ils, tout d’un coup? Ils doivent demander au gouvernement ici de les employer, ou quelque chose. Mais il n’y a pas de problème d’emploi là-bas. D’accord. C’est une bonne idée. Que Dieu vous bénisse! Je ne sais pas non plus comment est son patron. Il se pourrait qu’il ait attrapé cela de son patron, ou de quelqu’un.

Comment va-t-il? [Yogi: Pas bien du tout, Mère.] Ah, c’est cela. [Yogi: L’oncle de Garam.] Car vous, vous n’allez pas si mal. Je sais. Je l’ai appris. Ce doit être lui. Alors mieux vaut le changer maintenant. Comme il disait, ils peuvent trouver quelque chose pour vous. Il faut essayer. Car cela diminuera sa vitesse aussi, Je pense, parce que votre pays bouge très lentement, oui. C’est un endroit très excité aussi; l’Amérique est extrêmement excitée. Ceux qui n’ont pas d’agitation peuvent venir ici, mais ceux qui sont agités devraient quitter cet endroit.

Au début, J’ai pensé que ce serait bien que vous alliez à New York, mais New York ne l’est pas moins, alors cela ne conviendra pas. Donc si ça peut s’arranger au Mexique, il n’y a rien de mieux. Une fois qu’ils seront bien, alors il n’y aura pas de problème, une fois qu’ils seront équilibrés; mais les deux sont bloqués. Et il y a des gens bien là-bas, ils sont gentils, ce ne sont pas des gens méchants dans ce pays-là. A part cette magie noire qu’ils pratiquent, mais cela peut être corrigé. Petit à petit ils iront mieux. Les choses sont si bon marché là-bas, si peu chères… Faites à la main, oui, cela aussi c’est une bonne chose, comparée à l’industrie. Alors d’accord, merci beaucoup. Que Dieu vous bénisse!

Merci pour le porte-monnaie. Que Dieu vous bénisse! Maintenant que vous M’avez donné le porte-monnaie, vous devrez avoir beaucoup d’argent ici! Dans cet ashram, vous devez avoir beaucoup d’argent. Pour l’instant, personne ne M’a donné de porte-monnaie, pour votre information. C’est la première fois. [Yogi: Pour que ce soit auspicieux, nous aurions dû mettre un dollar dedans.]

Ah, c’est une bonne idée—un dollar, alors. Cinq dollars c’est trop. Un dollar. Non, non, non, non. C’est l’argent de la puja? Donc ceci, vous le donnez pour la principale là-bas, lorsqu’ils l’auront, hein? Maintenant J’ai ce porte-monnaie, c’est tout. Vous n’avez pas un dollar, si? Bien. Mais il vient d’en donner vingt-et-un.</p>

<p>Lui aussi, c’est quelqu’un de difficile! Bien. En fait, ce que Je dis, c’est que cet argent du puja, celui que tu as, compte-le, mets-le dans un paquet, donne-le-Moi pour l’argent général de puja, mais de votre côté—d’accord? Donc pour la véritable puja, ce sera là. C’est bien sûr un véritable puja aussi, aujourd’hui, c’était un puja magnifique, mais la puja de Krishna, nous la ferons là-bas.</p>

<p>Alors merci beaucoup, c’est plutôt élégant pour Moi. Très bien. Cette fois-ci, vous savez, J’ai quatre forces, heureusement. Nous devons faire un bandhan pour ce monsieur.</p>