Conversation avec yogis, Traitement des infections virales

Pune (India)

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Conversation avec des yogis, Puna (Inde), 1 Décembre 1987.

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Donc, quoi que nous conditionnions nous-mêmes, devient comme faisant partie de notre subconscient.

Comme le fait, par exemple, de faire tout le temps quelque chose, alors cela devient notre conditionnement car nous l’avons fait de façon répétée, de si nombreuses fois, que c’en est devenu un conditionnement, et aussi ce que vous appelez une habitude.

Et également les habitudes sont fournies par notre subconscient.

Donc on peut dire que ceci est ce qu’il y a de plus proche du présent : même tout en étant assise ici, en supposant que J’assimile quelque chose qui est très intoxicant et que Je sois immédiatement projetée dans une telle profondeur du subconscient, dans la zone du subconscient collectif

[extrême gauche]

, qu’immédiatement quelque chose s’accroche à Moi depuis ce subconscient collectif, alors la prochaine fois Je devrai l’avoir [cette habitude].

C’est ce qui se passe avec les drogues. Dès que vous prenez une fois de la drogue, vous l’avez attrapée [cette habitude]. Cela vous projette tellement dans cette zone que vous restez juste sous la coupe de quelque chose, ce que nous appelons des bhoots. Et ensuite vous devez…

En fait, dans le subconscient collectif, qu’avons-nous obtenu ?

Au cours du processus évolutionnaire, il y a eu beaucoup de choses matérielles qui sont venues sur cette terre et, une fois inutiles, ont été rejetées dans ce subconscient collectif.

Comme maintenant, en ces temps modernes, vous avez le plastique. De la même façon nous avons eu beaucoup de choses comme cela qui ont été projetées hors du processus évolutionnaire, gardées de côté [dans le subconscient collectif].

Ensuite nous avons eu une autre chose, ce que nous appelons le végétal, comme certaines plantes que nous avons, disons le tabac. En fait ce genre de plantes, qui sont là actuellement, nous allons les jeter hors circulation.

De la même manière il y a eu beaucoup d’autres choses consommées et qui ont été jetées hors circulation. Celles-là aussi sont là.

Puis, après le végétal, nous avons eu de petits animaux, des animaux microscopiques, qui ont aussi été rejetés et gardés dans le subconscient collectif.

Enfin, au sommet de cela, nous avons les êtres humains, ou en premier nous pouvons dire les animaux, les plus grands animaux

[dinosaures…]

. Eux aussi, tellement ont été mis hors circulation. Eux aussi sont encore là [dans le subconscient collectif].

Maintenant, après cela, sont venus les animaux [actuels] et ensuite certains d’entre eux qui sont supposés être sophistiqués [les êtres humains] mais sont ambitieux, sont encore plein de désirs.

C’est une telle accumulation dans ce subconscient

[collectif]

.

Donc, tous les problèmes que nous rencontrons, que nous appelons écologiques, proviennent de ce subconscient collectif.

Et vous savez que ‘pathos’ signifie ‘souffrances’

[pathologie]

. Donc tout ce qui vous apporte des souffrances, se trouve dans le côté gauche.

Ainsi nous pouvons dire que celles-ci [ces choses matérielles] ne sont en fait, pas nécessairement des protéines, il y en a certaines qui ne sont même pas des protéines, mais elles aussi croissent. Elles sont appelées – ces protéines bien sûr, les champignons et tout cela – elles sont la protéine 1.

Et alors nous avons également, au-delà de cela, certains animaux. Les Egyptiens avaient certains animaux, ce chien des Egyptiens, ou autre.

Les Français sont très forts pour cela. Ils apprécient les Egyptiens car ils boivent tellement, mangent toutes sortes de fromage et toutes ces sortes de choses pourries, et ensuite ils apprécient naturellement les Egyptiens car ils sont sur le côté gauche. Ainsi ils aiment cela beaucoup. Alors ceci vient des Egyptiens, de ce passé.

De fait ainsi nous avons obtenu tellement de sortes de choses, là, déjà stockées dans notre être !

Toutes ces choses sont là. C’est quelque chose de très difficile. Je veux dire que rien n’est détruit dans ce monde. Rien n’est détruit mais est placé dans différents, différents compartiments. Et nous sommes supposés ne pas entrer dans ce compartiment qui n’est pas à nous en propre. Et que se passe-t-il ? C’est que nous commençons à nous mouvoir vers cela. Et nous faisons beaucoup de choses insensées.

En fin de compte, il y a aussi des êtres humains qui sont morts et qui sont là !

Il y a beaucoup de gens qui boivent de trop, n’ayant probablement pas pu faire face à leurs propres problèmes. Il doit y avoir eu une sorte de bhoot qui s’est introduit en eux et ce doit donc être ce bhoot qui boit. Aussi tous ces gens, comme vous voyez, ces gens horribles et tout cela, leur innocence est mise à l’épreuve. Tout cela vient de là. Ils vont s’y tenir eux-mêmes jusqu’à ce point de trouver une sorte de bhoot installé sur eux.

Par contre, tous ces criminels, qui font toutes ces sortes d’actions, sont surtout du supraconscient [extrême droite]. Ce sont plus des gens du supraconscient qui peuvent agir.

En fait les gens qui souffrent sont du côté gauche. Ce sont des gens qui souffrent mais ils sont très retors, très rusés, et c’est très difficile de les attraper. Ils sont extrêmement roués. Ils découvrent des façons et des méthodes [pour échapper].

Nous pouvons dire qu’en ces jours en Angleterre, vous pouvez voir que la situation des Sahaja Yogis est la même. Ce sont des gens très rusés. Dites-leur d’aller par là-bas, de faire de cette façon : impossible. Parfois la situation est impossible. Mais alors ils souffrent et ensuite ils comprennent.

De l’autre côté [côté droit], ce sont des gens agressifs et qui agressent les autres. Ils font des problèmes aux autres et les torturent.

Cette sorte de gens peut aussi rencontrer une sorte de bhoot depuis le supraconscient et peut devenir réellement agressive. Comme, supposons, une personne qui est soûle. Alors il peut devenir une personne très sobre, très agréable, très charmante et un autre jour il peut commencer à battre les gens, à battre son épouse, à battre les enfants.

Cela dépend de la sorte de bhoot que l’on attrape en soi.

Mais ces virus qui sont des protéines et également des non-protéines, et sont si microscopiques que vous ne pouvez pas les comprendre, alors comment essayons-nous de les cloner ?

Nous appelons ce processus ‘le clonage’. C’est le fait de les attacher à quelque chose comme des enzymes.

Les enzymes : certains enzymes peuvent s’occuper de certaines sortes de virus. Pas tous les enzymes peuvent s’occuper de ces virus. Ceux-ci sont si nombreux que, pour trouver l’enzyme exact pour le virus exact, c’est très difficile. Mais de nos jours, les gens font frénétiquement des expérimentations à ce sujet, le clonage des enzymes avec ces virus.

En fait les anticorps effectuent le même travail. Ils sont pareils aux enzymes, sauf qu’ils essaient d’émettre des enzymes qui vont se cloner et qui vont enlever les virus.

Parfois les anticorps peuvent être détruits au tout début. Comme dans le cas de ces gens qui ont le Sida, car Ganesha Lui-même est abîmé. Et quand Ganesha est fini, cela veut dire Ganapati, qui veut dire le maître de tous les Ganas, qui veut dire tous les anticorps en nous, et si vous en avez déjà terminé avec tous les anticorps, Je veux dire dans le sens où leur leader est terminé, cela signifie qu’ils sont finis. Donc alors comment pourriez-vous encore avoir une quelconque immunité ?

Voici donc toutes ces sales affaires secrètes, insensées, absolument rouées, dans lesquelles entrent ces gens parce qu’ils sont attachés au côté gauche. Ils entrent dans ce côté gauche [extrême], font marcher ça de cette façon, et ensuite ils souffrent.

Maintenant, en ce qui concerne ces nouvelles activités, cette nouvelle activité de clonage, ils ont des tas de recherches en route. Les gens essayent avec des rats, vous voyez. Ils y placent des virus, ensuite se procurent les enzymes qui vont les combattre, font ceci, cela, vous voyez, parce qu’ils pensent : supposons que vous ayez un virus dans un rat et que le Ganesha du rat soit en bon ordre, alors de cette façon cela va émettre plus d’enzymes pour combattre cette maladie, qui vont combattre ce virus. Donc alors ils ont des micro enzymes disponibles, donc ensuite ils prépareront plus d’enzymes, et ainsi de suite.

Mais le problème, c’est le clonage ! Comment les cloner ? Comment trouver exactement celui qui est adapté et auquel ? Donc ceci, le

[problème ?]

auquel on fait face de nos jours dans le monde, c’est qu’ils ont toutes sortes de laboratoires, toutes sortes de travaux de recherche, avec un seul objet : trouver le clonage adéquat. Et c’est comme traiter une feuille avec différents et différents médicaments pour voir ce qui marche.

Mais l’autre problème, c’est Sahaja Yoga. Dans Sahaja Yoga, comment éviterez-vous tout ceci ? Comment enlèverez-vous vos attentions du subconscient collectif, du subconscient passé, du subconscient présent, du subconscient d’aujourd’hui, pour les amener au centre ?

Mais pour cela, on doit être une personne déterminée. Notre pouvoir de volonté doit être fort.

Mais tous ces gens côté gauche ont un très, très faible pouvoir de volonté. Vous faites ce que vous voulez mais ils vont retourner à leurs habitudes. Vous essayez de faire de votre mieux, cela va lentement, de manière rusée. Ils ne comprennent pas toutes ces choses. Ils vont le raconter dans le camp de leurs ennemis. En somme, ils vont entrer là dans de tels problèmes qu’ils souffriront et souffriront et souffriront.

Donc alors survient, hors de l’intelligence humaine, la théorie que nous devons souffrir. Mais il n’y a là pas de solutions. Donc surviennent des théories comme celles-ci, que nous devons souffrir et que la souffrance est d’essence divine. Comme vous avez dû entendre à propos des Juifs et des Chrétiens combien ils sont prêts à souffrir.

Et ils deviennent tous côté gauche. Mais alors ils sont sous la coupe des bhoots, et ensuite ils deviennent côté droit.

Alors vous verrez que les Juifs, qui ont tellement souffert dans les mains d’Hitler, sont devenus extrêmement agressifs. Et les Chrétiens qui ont dit qu’ils souffriront, chacun a souffert à cause d’eux partout dans le monde. Partout où ils s’en sont allé avec la Bible et le fusil dans leurs mains, vous voyez ce qu’ils ont fait là.

Donc de ces deux manières, dire de souffrir, c’est faire souffrir les autres.

Alors aussi le camouflage entre en jeu car ils sont très rusés, des gens roublards qui créent des problèmes. Ils ne peuvent pas voir deux personnes être heureuses et en joie.

Toutes ces choses ajoutent à votre vulnérabilité. Vous entrez dans une sorte de… En fait des maladies horribles sont là. Le Mooladhara subit des attaques : vous avez le Sida, tous les désordres musculaires et vous n’avez pas de température.

Vous n’aurez jamais de température depuis le côté gauche. Jamais. Vous n’aurez jamais une attaque cardiaque, jamais. Vous pourriez placer une machine dans un asile de fous mais ils ne subiront jamais une attaque cardiaque, à moins que survienne une sorte de choc, un accident ou autre. Ils n’ont jamais de température. Dans le cas du cancer, vous n’avez jamais de température.

Et ainsi, quand le Mooladhara est parti, la première chose qui arrive, c’est que vous attrapez une maladie que vous connaissez sous le nom de Sida, mais aussi vous avez toutes les maladies qui ont quelque chose à voir avec les muscles, les muscles commencent à devenir faibles et ceci et cela.

Récemment à Londres, nous avons guéri une personne de ce genre qui ne pouvait plus très bien marcher ou s’asseoir, qui ne pouvait plus s’asseoir sur le sol. Mais, quand il a été guéri en étant assis là pendant environ 15 minutes avec sa main vers Moi, sa main gauche, et une lumière

[bougie]

ici, il s’en est juste allé. Et à nouveau il est devenu [comme avant]. Ils ne tiennent pas en place. Donc à nouveau il ne pouvait plus lever sa jambe. Il s’en est allé. D’accord !

Donc maintenant on doit comprendre qu’on doit aussi accorder une attention très particulière à notre Mooladhara.

Supposons que quelqu’un ait une épouse bhootish et qu’il ait des relations avec elle, il peut l’attraper [le bhoot]. Si vous avez un mari bhootish, vous pourriez l’avoir. Et toutes sortes de choses sont là que l’on peut attraper, ce genre de chose horrible.

En fait vous continuez d’avancer avec ça. Alors les gens ont pris une autre habitude, disons celle de l’alcool.

Comme vous le savez, l’alcool résulte en différentes variations selon les habitudes de la personne. Si la personne est du genre très calme, normalement avec l’alcool il devient très agité et colérique. Et s’il est du genre très colérique, il devient… C’est très bizarre car ils se meuvent d’une extrême à l’autre.

Et c’est ainsi la façon dont l’alcool est très dangereux, car il détruit votre foie, il détruit votre conscience, il vous rend très maladroit et votre attention est devenue floue. Et finalement vous serez surpris de ce que toutes ces relations dont Freud a parlé, avec leurs usages inadéquats, proviennent de ça.

Car l’alcool transforme une personne d’une telle manière qu’il perde tout son dharma. Ils n’ont plus de dharma ! Ils ne savent plus ce qu’est une mère, une sœur. Il devient juste une personne sans retenue. Et quand il devient une personne perdue, il devient impudique. Quand il est devenu sans vergogne, alors il dit : « Qu’y a-t-il de mal ? », continue à avancer avec ça et commence à se détruire lui-même.

C’est ainsi qu’est la société que nous appelons ‘décadente’. Mais ce genre de société devient détruite, graduellement, car il n’y a plus de dharma, aucun dharma. Et ils boivent juste et ne savent rien de ce qu’ils sont en train de faire. Il n’y a plus de sens commun dans leurs têtes. C’est pourquoi fortement, absolument, sans aucun doute, [ils en viennent à utiliser] les drogues.

En fait les drogues vous frappent sur le Nabhi Gauche ou sur le Droit.

Celles qui frappent votre Nabhi Gauche peuvent vous faire descendre très profondément. Et vous pourriez parfois être très agressif malgré le fait que vous en ayez prise une qui agisse côté gauche.

C’est surprenant ! Vous voyez, soudainement vous devenez juste sidéré. Cette personne peut devenir folle. Tout peut arriver à une personne qui prend des drogues. On peut devenir complètement [fou]…

J’ai aussi vu que c’est comme les disciples de Rajneesh qui sont tous fous, complètement fous. Ils n’ont plus leur sens commun. Nous avons seulement pu guérir une seule personne et cela jusqu’à un certain point. Je ne dirais pas à 100 % mais vous pouvez dire qu’il va bien maintenant à 75 %.

Donc vous pouvez imaginer combien le Mooladhara est important.

La quantité d’attention que l’on porte à notre Mooladhara, vous voyez, est réellement effarante. Cela n’est pas nécessaire.

En Angleterre on mène une vie mariée pendant la première année, la deuxième année vous demandez le divorce, et la troisième année vous vous remariez. Il n’y a là aucune compréhension graduelle, de maintien, aucun bon sens. Alors finalement ils abandonnent. L’épouse s’installe sur la tête du mari ou l’époux s’installe sur la tête de son épouse. Ils ne sont jamais en parallèle, ne sont jamais ensemble. Vous pouvez voir qu’il n’y a là plus aucun rapport.

Donc toutes ces idées perverties nous sont venues du subconscient collectif en faisant toutes sortes de choses perverties. La façon dont les gens se comportent, en ce qui nous concerne, nous ne pouvons pas le concevoir.

Je veux dire que, l’autre jour, quelqu’un est venu Me dire qu’il était considéré comme quelque chose de grand et de très religieux, le fait que les femmes, les sœurs et les mères aillent dormir en plein air, deviennent malades et meurent, et qu’ainsi elles deviennent des saintes. En fait n’importe qui peut faire ça en France. En France ! Et c’était très courant ! Et même à Rome !

Je veux dire que cette façon dont on demande aux gens de souffrir, est comme… Et c’est partout ! Et ces idées stupides viennent du côté gauche qui veut que vous souffriez. Et vous faites un martyr de cette souffrance !

Et toute cette pathologie ! Vous trouvez que tous ces différents, différents virus sont là en nous. Et chaque fois que nous nous y adonnons… Nous ne devons pas nous adonner à ces horribles virus.

Mais le problème c’est que les êtres humains n’ont aucune

[volonté]

… Ils se font très facilement tenter et ils veulent faire quelque chose qui est… « Voyons ce qui arrivera ! »

Si vous avez votre propre dignité et votre propre pouvoir de volonté, vous ne succomberez au grand jamais à eux [ces virus] car vous savez que ceux-ci sont des choses très dangereuses que vous ne devriez pas faire.

Et si Je dis : « D’accord, ne mangez pas ce fromage », des Sahaja Yogis diront encore : « Non, mais on aime ça. »

Pourquoi n’adoptez-vous pas ce dont Je parle ? Ensuite Je dis : « D’accord », mais ce devrait juste être jeté au loin. Car vous savez ce que c’est, c’est un virus. Alors vous introduisez un problème en vous-même. Si vous voulez introduire un problème en vous, alors continuez, mais dans ce cas vous ne pouvez plus être appelé un Sahaja Yogi.

Donc la seule chose qui soit vraiment mauvaise dans toute cette histoire, c’est ce : « Qu’y a-t-il de mal ? »

En premier ce sont des gens absolument ignorants et deuxièmement : « Qu’y a-t-il de mal ? » Vous n’avez aucun intérêt à vous détruire vous-même ! Dieu vous a créé, vous ne vous êtes pas créé vous-même ! Qui êtes-vous pour vous détruire vous-même ? Il n’y va pas de votre intérêt !

Et voici ce qui doit être compris par les Sahaja Yogis, c’est que vous n’avez aucun intérêt à vous détruire vous-mêmes et vous n’avez aucun intérêt à vous abîmer vous-mêmes.

Vous devez comprendre ce que vous êtes maintenant. Si vous comprenez réellement, ce que J’appelle être partie intégrante, ce qu’est un bodha [connaissance parfaite] par exemple, cela devient partie intégrante de votre système nerveux, ce fait que vous êtes un yogi, alors aucun virus ne peut vous attaquer. Qu’est un virus ? Rien ne peut vous attaquer, rien ne peut vous poser un problème. Et même s’ils attaquent, cela viendra pendant un bref laps de temps et s’en ira. Même s’ils attaquent, cela viendra puis s’en ira. Cela ne restera pas dans votre corps. Il ne peut pas y rester longtemps.

Maintenant, y a-t-il des questions ?

Question : [A propos des rêves.]

Réponse : Si vous Me voyez, alors vous passez par le Sushumna [canal central].

Mais si vous voyez toutes sortes de choses à propos de vous-même ! S’il est soudainement attaqué par quelque chose là ! Il oublie juste et quand il revient [au stade de l’éveil], il dit : « Oh, comment ai-je pu faire cela ? » Mais, à ce moment, vous n’étiez pas vous-même.

Soit cela peut arriver avec l’ego : « Je ferai ceci, je ferai cela. »

La chose la plus importante, c’est ce qui doit être dans votre cœur. La chose la plus importante se trouve toujours dans votre cœur. Donc si vous établissez ça dans votre cœur tout le temps, c’est cela l’établissement [stable]. Chaque personne que vous voyez faire des problèmes, ce problème-ci, ce problème-là, c’est très simple : placez juste cela dans votre cœur. C’est si simple !

Si vous dites : « Mère, venez dans mon cœur », Je serai là. Si vous dites : « Mère, venez dans ma tête », Je serai là. Je suis à votre service. Ce sont ces Déités qui ont fait ça.

Mais ce système égotique ! Celui où vous vous séparez vous-même de votre Mère et commencez à penser : « Oh, je suis venu jusqu’à Vous, je Vous ai vénérée, Je suis ceci. »

De quoi s’agit-il ? Vous faites partie intégrante d’un seul corps. Un doigt peut-il devenir plus grand qu’un autre ? Un seul le peut-il ?

Donc ce genre de système égotique est également là : « Je suis quelqu’un de supérieur, je veux être un meilleur Sahaja Yogi que les autres. »

Un meilleur Sahaja Yogi, c’est très bien. Mais être meilleur que les autres : « Je suis quelqu’un de grand, je sais tout, je connais cette chose » ! Cette attitude est également très commune.

Rien que l’autre jour, Je lui ai parlé de lui-même. Vous voyez, il ne permet à personne de Me parler, qui que ce soit qui Me parle. Je trouve cela si embarrassant. Je lui ai dit de ne plus le faire. Je sais quoi dire. Quiconque dit quoi que ce soit, il va juste [s’opposer]. Donc ce n’est pas à faire. Tout cela n’est que du côté droit. Bien sûr il est le leader, d’accord, mais Je voudrais parler à tout le monde. Si quelqu’un se montre déplacé ou bizarre, alors c’est très bien. Mais si quelqu’un est juste en train de Me parler, il ne faudrait pas le stopper. Je veux dire qu’il n’est pas le seul porte-parole. Eux tous sont mes enfants.

Et aussi ce poste de leader, qu’est-ce ? C’est un mythe. Chacun a de tels problèmes, mais une fois que vous devenez leader, vous devez devenir très attentif à ne pas avoir un mauvais caractère.

S.S. Shri Mataji Nirmala Devi