Shri Krishna Puja, 2003

Pune (India)

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Shri Krishna Puja (Hindi/Marathi). Pune (India), 9 August 2003.

English transcript verified IBP
Traduction française version 1/1/2014.

[Le Pūjā international a eu lieu à Canajoharie, dans l’état de New York aux Etats-Unis, sans la présence physique de Shrī Mātājī. Mais un Pūjā Lui a été célébré en personne en Inde, où Elle a fait ce discours, traduit de l’hindi en anglais, puis en français.]
Maintenant nous devons réaliser que Sahaja Yoga s’est beaucoup répandu et, dans tous les coins du monde, des gens respectent Sahaja Yoga. Mais tant que Sahaja Yoga n’est pas complètement manifesté en nous, les gens qui respectent Sahaja Yoga ne continueront pas à le faire. Voilà pourquoi il est essentiel pour nous de regarder à l’intérieur de nous. La nature de Shrī Krishna est de nous faire regarder en nous pour voir quelles sont les choses qui nous causent des problèmes. Nous devrions le découvrir. Nous devrions nous regarder, regarder en nous-mêmes et ce n’est pas une chose si difficile.
Lorsque nous voulons voir notre visage, nous regardons dans le miroir. De même, lorsque nous avons besoin de voir notre Esprit, nous devrions apprendre comment le voir en nous. Beaucoup de Sahaja Yogis M’ont demandé: “Mère, comment voyons-nous ce qui est en nous et comment nous allons?” Pour cela, il nous est nécessaire de devenir nous-mêmes très humbles. Si nous manquons d’humilité, nous serons obscurcis par nos propres pensées.
Ainsi, dans la vie de Shrī Krishna, on a d’abord montré qu’Il était juste comme un petit enfant. Absolument comme un enfant. Sans rien connaître. Il ne pensait rien par Lui-même. Il avait Sa mère et Il voulait grandir avec le support de Sa mère. Nous devrions aussi regarder à l’intérieur de nous et réaliser que nous sommes aussi comme un petit enfant. Shrī Krishna l’a dit à plusieurs reprises. Egalement Jésus-Christ a dit la même chose, que nous devrions devenir comme de petits enfants. Nous devrions voir l’ombre réconfortante de la douce nature d’un enfant.
Parlons-nous comme un enfant? Quelle est cette qualité en nous qui nous fait devenir comme un enfant? En fait, l’enfant signifie pureté, innocence. C’est avec cette innocence que nous devons nous regarder et nous en couvrir. Cette innocence est très adorable. Si vous regardez des enfants, l’amour que vous ressentez à leur égard, c’est parce qu’ils sont innocents. Ils ne connaissent pas la ruse, ne ressentent pas leur importance, rien du tout. Que savent-ils? Ils savent que tous ces gens sont reliés à nous. Ce sont nos frères, nos sœurs et tout cela. Mais comment savent-ils cela? Voilà la question. Alors que ces enfants le savent, nous, nous avons oublié que nous sommes comme un enfant innocent et que nous avons en nous cette innocence.
Il y a beaucoup de Sahaja Yogis qui viennent en pensant qu’ils montreront leur intelligence et feront leurs preuves devant Mère. A quoi cela sert-il de Me prouver quoi que ce soit? Je sais déjà tout. Alors ce que vous devriez faire, c’est vous regarder et reconnaître votre innocence. Où est-elle et comment va-t-elle? Et nous devrions penser combien cela procure de la joie.
En fait, le principe de Shrī Krishna, c’est seulement cela. Il était vraiment simple comme un enfant. Et, lorsqu’Il a grandi, Il a expliqué la Gīta, qui est très profonde. Comment se fait-il que les êtres humains aient grandi ainsi? De la même façon, nous pouvons grandir dans Sahaja Yoga. Nous l’avons trouvé, mais nous n’y avons pas encore progressé. Et pour progresser, nous avons besoin d’en finir avec les mauvaises choses. Tout d’abord, nous avons besoin d’avoir un tempérament d’enfant. Maintenant si nous disons à quelqu’un: “Tu devrais devenir comme un enfant”, c’est une chose très difficile à faire. Nous ne pouvons pas simplement abandonner tout ce que nous sommes et devenir comme des enfants. Mais en vivant avec des enfants, en ayant du respect pour eux, en écoutant comment ils parlent, cela peut faire une grande différence et nous changerons toutes ces choses en nous.
Donc tout d’abord, nous devons savoir qu’en grandissant, nous avons laissé beaucoup de mauvaises choses entrer en nous. Comment devrions-nous enlever ces mauvaises choses? Quels genres de mauvaises choses sont entrés en nous? Si nous y réfléchissons et mettons notre attention là-dessus, alors nous pouvons corriger cela. Nous devons mettre notre attention sur ces choses: lorsque nous parlons agressivement à quelqu’un, que nous voulons gronder quelqu’un ou que nous n’arrêtons pas de penser comment corriger quelqu’un d’autre. Lorsque notre attention va sur les autres personnes, alors nous sommes séparés de notre propre Soi, car c’est nous-mêmes qui devons aller bien. Voilà pourquoi cela ne sert à rien de penser aux autres personnes. Donc, tout d’abord, nous devrions ne regarder que nous-mêmes, nous devrions nous voir. Mais tout cela se produit, Je vous l’ai dit, et cela se produit chez les Sahaja Yogis, car la Kundalinī s’éveille intérieurement et montre tous ces chemins.
En fait, la chose qui reste, c’est la saleté qui est à l’intérieur. Comment régler cela? Avant tout, la manière dont nous regardons les défauts des autres doit être modifiée, parce que ces mêmes défauts existent aussi en nous. Alors, au lieu de regarder les défauts des autres, nous devrions voir quels sont les défauts en nous. Si nous pouvons apprendre à voir cela, alors beaucoup de choses s’amélioreront automatiquement.
L’avantage qu’ont les saints et les sages, c’est qu’ils voient leurs propres défauts et qu’ils se demandent comment ils en sont arrivés là. Ils pensent: “Pourquoi dis-je des choses si dures? Pourquoi est-ce que je mens ainsi?” Donc il y a un flot d’observations de soi. La plupart du temps nous ne fonctionnons pas ainsi. Nous pensons que nous sommes séparés de cela. Mais ce n’est pas le cas. Si nous comprenons que ce flot existe en nous, qu’il nous emmène sur des voies où nous ne pouvons même pas nous reconnaître, alors un être humain peut se tourner vers l’intérieur.
Maintenant dire simplement: “Entrez en vous, méditez, enlevez ces choses de l’intérieur”, c’est très facile. Mais cela ne suffit pas. Voilà pourquoi nous devons méditer et y travailler constamment. Et nous avons des méthodes que nous connaissons. Comme méditer sur Shrī Krishna. En méditant sur Shrī Krishna, nous sommes purifiés de l’intérieur. Mais même lorsque nous méditons sur Shrī Krishna, nous pensons aux défauts des autres.
Si nous voulons regarder les défauts de Shrī Krishna, nous pouvons aussi les voir, mais nous ne pouvons pas voir nos propres défauts. C’est vraiment trop: nous ne pouvons pas voir nos propres défauts, mais nous arrivons à voir les défauts de Shrī Krishna. J’ai vu beaucoup de gens qui ont écrit des livres sur ce qu’étaient les défauts de Shrī Krishna. Ce qu’Il a fait de mal. Comment Il aurait dû vivre. Et ils ne se connaissent pas eux-mêmes. Mais même lorsqu’ils pensent à eux-mêmes, et se regardent, ce n’est jamais de façon à voir que ce défaut existe en eux et qu’il devrait disparaître. Ils peuvent continuer à discuter des défauts des autres. La seule chose que nous ayons à voir, c’est quels sont les défauts que nous avons à l’intérieur de nous.
Je ne crois pas qu’il y ait un plus grand Yogi que Shrī Krishna, parce qu’Il nous a montré la façon de regarder les erreurs en nous-mêmes, les défauts en nous. C’est une chose très importante. Il a dit cela, mais les gens qui le font véritablement sont très peu nombreux. Généralement, nous regardons les défauts des autres, parce que tout le monde s’en souvient, tout le monde les connaît. Mais très peu de gens sont capables de comprendre leurs propres défauts. C’est pourquoi les gens n’iront jamais bien. Nous devons être familiarisés avec nos propres défauts et rire de nous en pensant: “Regarde-moi! Quel genre de défauts j’ai en moi!” Nous devrions penser à cela.
Cette attention n’est jamais sur le Soi, mais sur les défauts des autres. Cela nous rend instables et nous n’arrivons pas à comprendre qu’il s’agit de nos propres défauts. Pourquoi regardons-nous les défauts des autres? En faisant cela, cela va-t-il corriger nos défauts? Ils ne pourront jamais être corrigés ainsi. Lentement, à mesure que ce point est compris, l’homme arrêtera de se focaliser sur les défauts des autres. Regarder ses propres défauts le surprendra et aussi réaliser combien de diables il a hébergés en lui-même. A l’intérieur de notre mental, nous n’arrêtons pas de penser à de telles choses affreuses.
Lorsque ce nettoyage commence, l’homme, en un sens, revêt un aspect particulier. Il reçoit des pouvoirs spéciaux et avec ces pouvoirs il peut faire beaucoup de choses. Cela se produit non pas pour gonfler son ego, mais pour qu’il soit purifié. Lorsque nous commençons à être purifiés ainsi, nous avons atteint notre but. Donc, en regardant nos propres défauts, nous commençons à nous nettoyer et à en finir avec ces défauts.
Maintenant, comment faire cela? Car voir le défaut n’est pas une chose difficile, mais c’est le faire partir qui est la partie difficile. C’est pourquoi la façon de voir ce défaut doit être subtile et précise, et notre attention doit être tournée vers cela. Beaucoup de choses peuvent être nettoyées ainsi.
Le message de la fête d’aujourd’hui est que nous devrions regarder et voir en nous. C’est ce qu’a dit Shrī Krishna. Mais les gens trouvent que c’est difficile à faire. Cela ne se fait pas. Quelle est la raison pour laquelle nous ne sommes pas capables de nous voir? Quel est ce voile au milieu? Ce voile est celui de mauvaises choses comme l’ego, etc. Elles se dressent et nous sommes incapables de voir les défauts que nous devrions voir. Voir ces défauts est tout à fait essentiel.
Je suis très heureuse que vous ayez conservé le Pūjā d’aujourd’hui. Le Pūjā à Shrī Krishna aura lieu et beaucoup de gens seront purifiés de l’intérieur, parce que c’est une bénédiction spéciale de Shrī Krishna. Il le fera Lui-même, mais vous devez montrer un peu d’intérêt, un certain désir d’être complètement nettoyé de l’intérieur. Vous ne savez pas combien cet aspect est profond. Pour corriger cela, nous devons travailler très dur.
Auparavant, les gens faisaient beaucoup d’exercices physiques, écoutaient les ordres de leur guru. Ils faisaient beaucoup de choses, mais ils n’atteignaient jamais cette profondeur. Mais vous êtes Sahaja Yogis. Cela ne devrait pas être difficile pour vous.
Donc maintenant Je dirai seulement que vous devriez regarder en vous. Cela sera très amusant. Jusqu’à maintenant, cela allait, mais Je ne sais pas ce que vous avez commencé à faire. Gardez un œil sur vous-même. Vous verrez comment agissent toutes ces choses, vous vous en amuserez et commencerez à rire de vous-même et à vous exclamer: “Que dire?”
Lorsque cela se produira, vous commencerez à manifester l’innocence en vous. C’est été la Bala Līla de Shrī Krishna. Une fois que vous serez baignés dans cette innocence, vous maîtriserez votre regard. De vous-même, vous commencerez à vous comprendre. En fait, les défauts se trouvent simplement à l’intérieur de nous. En regardant les défauts des autres, comment pouvons-nous corriger nos propres défauts?
Posez-vous une question directe et très simple: “Si quelque chose tombe sur notre sari et que nous ne l’enlevons pas, et que nous maltraitons ou accusons quelqu’un d’autre, cela ne s’en ira pas tout seul, n’est-ce pas?” Nous avons tous assez d’intelligence pour comprendre cela. Mais nous n’utilisons pas cette intelligence. Et pour cela, nous devrions tous utiliser cette intelligence.

Si quelqu’un n’a pas compris cela, vous pouvez poser des questions, en marathi également. Au moins vous devriez poser des questions.
En fait, vous voyez, l’attention se tourne vers l’intérieur et nous la poussons davantage, mais cela devrait se produire spontanément. L’attention devrait avoir l’habitude d’aller d’elle-même vers l’intérieur.
Je sais que vous avez beaucoup de questions à poser. Nous avons beaucoup de confusion en nous, il n’y a aucun doute là-dessus. Mais ces questions sont très subtiles. Elles n’ont pas de limites. Il y a toujours une question sur comment s’élever au-dessus de tout ceci. En fait, les gens disent: “Mère, comment pouvons nous nous élever au-dessus de tout ceci?” La méditation! Que dire de la méditation? Vous devez méditer sur votre propre Soi. Vous devez voir votre propre Soi, où va votre mental, et où vous allez. Lentement vous serez purifié.
Aujourd’hui est d’une importance capitale. L’incarnation de Shrī Krishna a effectué un très grand nettoyage pour nous et Il nous a beaucoup aidés. Sa venue sur la Terre a beaucoup changé les choses. L’éveil de la Kundalinī s’est aussi produit en douceur grâce à Ses bénédictions. Essayez s’il vous plaît de vous regarder vous-même. Vous ne devriez pas être fâché avec vous-même et vous ne devriez pas être fâché avec les autres non plus. Cela sera très joyeux. C’est le Pūjā à Krishna.
Si vous avez d’autres questions, d’accord, vous pouvez Me les posez… Que dire d’autre…
Commentaire d’un Sahaja Yogi: Tout le monde est en nirvichara .
Shrī Mātājī: D’autres questions?… Quelle est la question?…
Un Sahaja Yogi: Tout le monde est assis en nirvichara.
Shrī Mātājī: Approchez-vous.
Un Sahaja Yogi: Comment atteindre nirvichara en méditation?
Shrī Mātājī: En méditation ? Il n’y a pas de vichar pendant la méditation. Pourquoi des pensées devraient-elles venir dans la méditation? Vous ne devez rien chercher pendant la méditation. Il faut seulement la ressentir à l’intérieur. C’est vous qui devez distinguer si vous avez atteint cela ou pas pendant la méditation. Dans la méditation, d’abord vous arriverez à connaître vos propres erreurs, où vous avez mal agi, et où vous avez bien agi. Lorsque vous commencez à réaliser vos propres fautes, alors vous êtes sur la bonne piste. Lorsque vous vous regardez dans le miroir, vous vous voyez. A quoi cela sert-il de voir les autres? Le problème chez nous, c’est que nous aimons toujours voir les autres dans le miroir. Alors comment identifierez-vous vos propres fautes si vous commencez à voir les autres dans le miroir?
Un Sahaja Yogi:Comment pouvons-nous nous protéger des griffes des faux gourous?
Shrī Mātājī:Pourquoi avez-vous dû aller chez un faux gourou? [Shrī Mātājī rit] Dites-Moi d’abord pourquoi vous êtes allé chez un faux gourou. Qu’est-ce qui vous a attiré pour aller chez ce faux gourou? Comment y êtes-vous allé? Vous devez d’abord vous demander cela. Alors vous réaliserez que vous avez ignoré les démons de ce faux gourou. Voilà ce dont vous ne vous êtes pas protégé. En fait, dans le passé, J’ai déjà fait des discours sur les faux gourous, où J’ai clairement parlé de leurs méfaits et de la manière dont ils vous roulent. C’est leur business de vous prendre tous au piège. Ils adoptent différents types d’approches. Grâce à cela, ces gourous font métier de vous prendre au piège et vous êtes coincés. A partir de cela, on doit réaliser dans quel piège nous sommes tombés. Nous avons rempli notre mental des badhas des faux gourous. Maintenant si vous pouvez Me décrire certains de ces badhas, alors Je peux vous expliquer…
Sahaja Yogis: [inaudible, deux ou trios personnes parlant en même temps]
Shrī Mātājī: Maintenant, si vous connaissez un ou deux de ces badhas, faites-le Moi savoir. Les badhas des faux gourous. En fait, que font vraiment ces badhas? D’abord ils focalisent leur attention sur votre porte-feuille. [rires] N’est-ce pas? Lorsqu’ils commencent à faire cela, alors vous devez comprendre que leurs intentions sont autres.
Mais tout cela est au niveau grossier. Sur le niveau plus subtil, en fait, il y en a beaucoup qui ne veulent pas vous piéger, mais qui essaient de projeter leur propre importance. Et c’est pour cette raison qu’ils deviennent gourous. C’est ainsi que l’on projette son importance. Alors vous devez faire attention à tout ceci et être critique à ce sujet. Alors cela vous quittera. Mais la plupart des gens absorbent leurs badhas, leur ego, leur colère, leur état de santé physique et bien d’autres aspects du gourou que vous absorbez. Ainsi, ces gourous, lorsqu’ils tombent malades, leur ombre commence à se réfléchir en vous.
Pour cette raison, vous devez vous analyser et vous observer: “Qu’ai-je reçu de ce gourou?” C’est très important. Ensuite lorsque vous vous nettoyez, alors vous verrez que cela vous profitera dans une large mesure. Pourquoi êtes-vous allé vers un gourou, alors que vous étiez en recherche pour votre propre ascension spirituelle? Vous êtes allé vers un gourou pour le connaître, mais vous avez été piégé à votre tour. Ce gourou est un gourou de ce genre, et vous devriez vous-même savoir comment vous protéger de lui. Vous devriez rester loin de lui. Je suis allée chez beaucoup de gourous de ce genre, simplement pour les voir et voir ce qu’ils font, comment ils tentent et attirent les gens. Et avec quoi ils piègent les gens.
Donc la première chose que J’ai vue était que ces gens cherchent vos propres faiblesses, quelles faiblesses vous avez. Si cela ne marche pas, alors ils mettent des badhas en vous. Ces badhas sont de divers types. Parmi ces badhas, vous devez d’abord apprendre à détecter quel genre de badhas il a mis en vous et dont vous n’arrivez pas à vous débarrasser. Le plus grand badha qu’ils mettent en vous, c’est la peur. Cela continue à vous effrayer: “Si vous me quittez, telle et telle chose vous arrivera.” Ce type de peur s’insinue en vous. Il n’y a pas beaucoup de force en elle. Mais elle n’arrête pas de vous effrayer. Lorsque cette peur arrive, vous devez lui dire: “Oui, je le sais!” A cause de cette peur, les êtres humains n’arrêtent pas de tourner autour du gourou. Pour cela, il y a Shrī Krishna, qui enlève cette peur de chaque personne.
Est-ce terminé, ou bien avez-vous d’autres questions?
Sahaja Yogi: Tout le monde est en nirvichara.
Sahaja Yogis:[inaudible, deux ou trios personnes parlant en même temps]
Shrī Mātājī:Vous dites que tout le monde est en vichar, mais maintenant nous devons aller au-delà des vichar.
Le Sahaja Yogi insiste: Non, Mère, c’est en nirvichara.
Shrī Mātājī: Nirvichara. Comment cela s’est-il produit? Nous avons organise un si beau Pūjā que Moi aussi Je n’arrête pas de M’interroger. Comment est l’environnement? Ca va bien? Oui, c’est paisible et calme… tranquille… Maintenant ça va mieux.
Si une personne peut être témoin d’elle-même en en riant, c’est parfait. Celui qui rit des autres, son attention est dans une autre direction. De nouveau, celui qui peut s’observer et rire de lui-même, et de son propre entourage et de son apparence, celui-là est parfait.
Bénédictions éternelles!